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La Prêtresse de la Pureté Ch. 04

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**Avertissement** : Le prince de chair n’est pas un protagoniste sympathique (c’est même une belle enflure) et ses actions en sont le reflet. Certains passages peuvent donc choquer.

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Chapitre 4 – Le premier serment

— Je suis plus déterminée que jamais, votre Sainteté.

À voir la prestance de la haute-prêtresse Itana, avec son dos droit et son regard clair inflexible sous la virgule de ses fins sourcils blonds, elle en croyait chaque mot. Probablement, car elle ne savait pas encore tout ce que le prince lui réservait. Il devait l’y préparer encore un peu. À cette pensée, il fixa les deux plaisantes pointes qu’il devinait encore à travers le tissu de sa robe. Son rude traitement avait fait son effet.

— Je n’en attends pas moins de vous, dit-il, mielleux. Mais je veux que vous compreniez bien à quel point l’épreuve de sélection est difficile. Elle testera tout autant votre volonté que votre foi. Vouloir abandonner maintenant est parfaitement normal.

— Je comprends, votre Sainteté.

Arlor laissa volontairement le silence s’installer. Il observa le tableau de « l’Unique » sur le mur derrière la prêtresse et tenta d’imaginer ce que l’élixir donnait à voir à la belle blonde. De grands yeux d’un noir profond, un sourire bienveillant, une courte barbe brune aux pointes tressées et décorées de perles. Difficile de dire ou la réalité de l’air angélique de cet homme démarrait et où finissaient les talents de son portraitiste.

— Comme je l’ai dit dans ma missive, tenta timidement Itana que le silence commençait à mettre à cran. Je suis prête à tout pour servir le prophète à travers vous, votre sainteté.

Le prince reporta lentement son attention sur la haute-prêtresse. Sa beauté était presque douloureuse pour son entrejambe.

— Des propos très ambitieux. Mais j’ai le sentiment que vous ne savez pas exactement ce que les épreuves impliquent.

Avant qu’Itana ne puisse réagir, Arlor lui avait saisi une main. Sans la brusquer, il la dirigea, paume à plat, le long de sa toge jusqu’à atteindre son érection brûlante à travers le tissu. La haute-prêtresse poussa un petit cri de jouvencelle et s’arracha à sa poigne.

— Votre Sainteté… je… ne comprends pas.

— C’est hélas ce que je craignais, prêtresse Itana. (Arlor exagéra son air déçu. La tête basse, il l’agita lentement de gauche à droite.) Vous n’êtes pas véritablement prête à tout. Mais ne vous blâmez pas, peu le sont, vous n’avez donc aucune honte à avoir. Allez dans la paix ma fille.

À ces mots, Arlor fit volte-face sous le regard éberlué de la belle prêtresse.

Il n’avait pas fait un mètre en direction de la porte qu’un bras glissait le long de sa hanche, droit vers son entrejambe. Le léger toucher des doigts graciles fit palpiter sa verge, comme si celle-ci en réclamait plus de son propre chef. La prêtresse plaqua son autre main contre le torse d’Arlor, comme pour l’empêcher de partir. Elle susurra directement contre sa nuque :

— Je vous prie de m’excuser, votre Sainteté, vous m’avez surprise, rien de plus.

— Comprenez-vous bien. (Le prince haleta. Les tremblements que la prêtresse communiquait sans le vouloir à sa verge le grisaient au plus haut point. Il dut se mordre l’intérieur de la joue pour ne pas eskişehir escort perdre ses esprits.) Comprenez-vous bien, reprit-il une seconde fois, pourquoi vous ai-je fait faire cela?

— Pour tester ma détermination? tenta-t-elle, son souffle chaud faisant frémir les poils de la nuque du prince.

Dans le mille.

Oh comme l’idée de tester les limites de sa détermination l’excitait d’avance. Presque à contrecœur, il repoussa la main de la prêtresse, la prit dans la sienne, et se retourna pour la fixer, une tendresse calculée dans le regard. Un mélange de gêne et d’incompréhension crispait les traits de la belle prêtresse. Il luttait contre tous ses instincts pour ne pas la prendre la, tout de suite. Mais il ne pouvait pas brusquer les choses s’il voulait profiter d’absolument tout ce qu’elle avait à lui offrir. Après l’avoir désirée aussi longtemps, il ne saurait se contenter de moins que ça.

— Je comprends que vous deviez me tester, balbutia-t-elle d’une voix si douce que le cœur emballé du prince la couvrit presque. Mais vous ne devriez pas vous souiller pour cela. Vous êtes l’unique. Vous êtes le représentant du prophète de la pureté sur terre. Vous…

— Mais je suis aussi un homme, dit Arlor qui se délectait de voir la prêtresse lutter contre le carcan de sa foi. Notre prophète ne me protège pas de cette réalité. D’ailleurs, ne vous êtes vous jamais demandé pourquoi un homme avait hérité du fardeau de l’Unique, quand le reste de ses représentantes sont des femmes?

La prêtresse détourna le regard. Arlor jubilait d’utiliser contre elle l’hypocrisie de cette branche de la révélation qui proclamaient la femme comme naissant pure, contrairement à l’homme, tout en ne voyant pas de soucis à suivre la voie tracée par un gourou tout ce qu’il y avait de viril.

— Car seul le pêcheur peut porter le message du prophète, dit-elle, répétant la justification habituelle à ce dilemme théologique.

— Exactement, ma fille. Pensez-vous alors que c’est un hasard si le prophète a créé ce monde plein de tentations? Que ce soit ses mets les plus fabuleux (Il ancra on regard toujours plus profondément dans celui de la prêtresse avant de murmurer.) Ou ses femmes les plus désirables. (S’il en croyait les lèvres légèrement humides de la prêtresse, le compliment mièvre avait fait mouche.) Tout cela est une épreuve destinée à me faire dévier de mon véritable but, celui de répandre sa parole. Il me teste ainsi constamment. Alors, pour que je puisse accomplir cette quête salvatrice, je ne peux laisser mes besoins me parasiter l’esprit.

La prêtresse se mit à frissonner. Le prince repoussa son instinct de la serrer contre lui. Ce qu’il venait de lui dire était un blasphème énorme, mais sortit directement de la bouche de l’unique, son « dieu sur terre ». elle ne pouvait le balayer d’un revers de main

— Alors, murmura la prêtresse, l’ordre des Seraph existe pour vous aider à affronter ces… besoins.

Aucune idée.

— Oui. C’est pour cela que j’ai besoin de m’entourer de femmes dont la foi inébranlable rend leur esprit, et non leur corps, vierge d’impuretés, quelle que soit leur mission.

La haute-prêtresse froissa de ses poings le tissu de sa robe. Son ambition à s’élever au plus haut des rangs gaziantep escort de son culte, et le respect de ses préceptes engrenés en elle depuis sa prime jeunesse s’affrontaient derrière ses yeux. Arlor le sentait pourtant, il ne fallait qu’un dernier coup de pouce pour la convaincre.

— Je sais qu’au fond, vous vous saviez destinée à cette mission bien avant que je vous en parle. Après tout, cette poitrine que vous avez refusé de dissimuler complètement, vous a-t-elle empêchée de demeurer pure dans vos intentions et votre cœur?

Arlor eut presque l’impression que la pièce manquante d’un puzzle complexe venait de s’emboiter parfaitement dans l’esprit d’Itana. Ses lèvres s’étirèrent en un sourire.

— Vous avez entièrement raison, votre Sainteté. Excusez mes doutes. Tout cela est tellement…

— Vous êtes tout excusée. Et vous avez tout à fait raison de vous questionner. (Il marqua une courte pause solennelle.) Mais maintenant que tout est clair, nous allons pouvoir commencer vos épreuves. Chacune sera basée sur un des trois grands préceptes de l’ordre. Vous devrez les bafouer, pour préparer votre cœur à se renforcer face à l’impureté. Êtes-vous prête?

En dépit de son trouble évident, la prêtresse acquiesça.

— Alors quel est le premier précepte? demanda-t-il.

— « Tu ne tenteras point », cita-t-elle sans une once d’hésitation.

— Dans ce cas, tentez-moi!

Arlor frémit à ses propres mots, aussi impatient qu’un enfant affamé à qui l’on tend une friandise. La haute-prêtresse recula de deux pas pour lui permettre de mieux l’admirer. Le rouge envahissait ses joues diaphanes, avivant encore plus la beauté de ses traits fins . Les mains dans le dos, elle chercha les nœuds qui maintenaient sa robe en place. Un par un, elle les dénoua, sans jamais se détourner, sa fierté d’être dévorée du regard presque palpable.

Arlor dû se retenir pour ne pas lui arracher son vêtement aux attaches si compliquées. Il se devait de savourer l’attente. Les contraintes libérées, Itana tira délicatement sur le bas de la robe. Le col montant s’évasa, dévoilant la peau diaphane de son cou. La frontière entre tissus et chair glissait, telle la ligne de front d’un champ de bataille sur lequel s’affrontaient pudeur et luxure. Lorsque le sommet de son imposante poitrine apparut, le prince s’aperçut incapable d’avaler sa salive.

La belle le remarqua et, presque cruellement, attendit de longues secondes sur le seuil de la révélation de ses formes.

Lorsqu’elle écarta les bras, paumes vers le haut, pour laisser choir la robe à ses pieds, Arlor manqua de décharger dans sa toge, aussi misérablement qu’un puceau visitant sa première maison de passe. Ce qu’il avait sous les yeux dépassait des attentes qu’il ne pensait même pas avoir. Ronds. Pleins. Un réseau délicat de veine drapait leur surface laiteuse. Des pointes roses, encore rougies de ses jeux, trônaient au sommet d’aréoles si minuscules qu’elle accentuait encore plus la volupté de sa poitrine. Une poitrine plus impressionnante encore que celle de la maréchale. Les réticences de la prêtresse à les cacher ne faisaient plus guère mystère. Pourquoi dissimuler la perfection?

Clou de ce spectacle érotique, un sexe lisse et nu, intégralement rasé giresun escort et d’une invraisemblable indécence apparaissait par delà ses hanches puissantes et son ventre plat. Ses lèvres roses s’ouvraient légèrement malgré ses jambes jointes.

— Vous pouvez… toucher. Si vous voulez.

La timidité dans sa voix! Par le postérieur de tous les panthéons, cela fut presque trop pour le prince dont le cœur rata un battement. Il fondit sur sa proie, paumes en avant. Il crocha un sein, puis l’autre, les pressa comme pour imprimer la forme de ses paumes dans leur chair qui débordait de ses mains trop petites. Il pinça les tétons. Fort. La haute-prêtresse grimaça légèrement, mais tint bon. Il sera plus fort. Il voulait entendre sa voix. Ses cris. Elle gémit. Il relâcha, puis tordit de plus belle. La plainte aiguë d’Itana s’acheva en un ronronnement sensuel d’un érotisme ravageur.

— À genou, finit-il par dire

L’impatience faisait frémir sa voix d’habitude posée. La belle prêtresse s’exécuta langoureusement. Presque trop lentement pour le prince qui avait déjà relevé sa toge pour en extirper son sexe qui pointait haut. Il le glissa entre les deux orbes chaudes offertes à son plaisir. Le sursaut de honte dans le regard d’Itana faillit l’achever, mais il voulait que son désir explose aussi puissamment que possible, aussi mit il toute sa volonté à ne pas jouir. Pas encore.

Des mains, il pressa les seins contre sa verge. Leur douce chaleur l’enveloppa sur toute sa longueur. Son gland pointait au sommet du décolleté à chacun de ses coups de reins. Itana gardait sa tête légèrement tournée sur le côté, clairement gênée à l’idée de regarder ce que faisait le prince avec son corps. Une attitude des plus délicieuse, mais qui pouvait l’être bien plus encore.

— Plaquez… votre menton… contre votre cou… ahana-t-il.

L’inquiétude et la honte flamboyèrent plus fort que jamais dans les yeux de la prêtresse, mais elle s’exécuta. Aussitôt, le Prince délia ses mouvements, les amplifia, poussant toujours plus haut l’extrémité de son sexe. Il toucha les lèvres, recula, avança pour mieux les écarteler. Par les Dieux. L’orée de sa bouche! Chaque contact lui arrachait des accélérations sanguines.

En temps normal, il aurait enjoint la prêtresse à darder sa langue. À lécher le gland à chacune de ses approches, mais ce n’était pas un temps normal et il ne pensait à rien d’autre qu’à presser toujours plus fort la poitrine contre sa verge, envahir un peu plus les lèvres réticentes, juste assez pour gouter à leur humidité avant de regagner la chaleur des seins.

Puis, dans un dernier mouvement ample, il n’y tint plus et explosa brutalement. Les éclats de son désir giclèrent entre les lèvres d’Itana qui en avala un peu, surprise, avant de détourner la tête, paniquée. Le reste vint souiller son visage d’ange en longs filaments clairs.

L’émotion étreignit une nouvelle fois Arlor à la vue de ses traits. Son sperme s’étalait du front à son menton, s’y écoulant en un lent goutte-à-goutte qui s’échouait sur sa poitrine soulevée par sa respiration saccadée. Le plus beau restait le rouge à ses joues, et ses yeux qui n’osait plus le fixer.

D’une main tâtonnante, la prêtresse chercha sa robe tombée au sol et l’amena vers son visage. Arlor lui saisit le bras pour l’arrêter.

— Ne vous essuyez pas, dit-il. Cette épreuve est loin d’être terminée.

***

(Suite au chapitre 5 très prochainement, voir maintenant si vous venez du futur. Comme toujours, n’hésitez pas à commenter, c’est toujours un plaisir de pouvoir échanger avec des lecteurs.)

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Le dépucelage de Melle Emerson

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Jennifer Ch 1

Le dépucelage de Mademoiselle Emerson

Classroom conquest III (Black Demon)

Assis au second rang Dwight Nelson regardait la prof inscrire sur le tableau la so-lution du problème. C’était la seconde année qu’il fréquentait la classe tenue par cette ravissante prof toujours si élégamment habillée. Le seul problème qu’il se posait était :

– “Comment pourrai-je bien faire pour me la sauter?”

mais il savait qu’il n’avait aucune chance de coucher avec elle, du moins en em-ployant les voies normales. Cependant il aimait rêver que la jolie jeune femme soit attirée par ses charmes

Au collège Wilson, tout le monde considérait Dwight Nelson comme un pauvre type, un handicapé social.

Il se situait dans la marge basse de la classe en Education Physique, et ne se maintenait dans cette classe que grâce à ses capacités intellectuelles bien supé-rieures à la moyenne.

Des aînés aux plus jeunes tout le monde se moquait de lui. Lorsque les cours commencèrent, cette année un arrogant étudiant blanc fit l’erreur de le brutaliser pour impressionner les jeunes filles de première année, il avait arraché les livres des mains de Dwight et les avait lancés dans la poubelle, obligeant Dwight à se ridiculiser pour les reprendre.

Ce jeune athlète, inscrit de fraîche date, ignorait que Nate Thompson, le muscu-leux joueur de foot américain, était le meilleur ami de Dwight, son protecteur. Il pesait 125 kg et était une des vedettes de l’équipe de football.

A eux deux ils alliaient force et intelligence et formaient une étroite paire d’amis depuis la maternelle. Dwight aidait Nate dans ses études, et Nate protégeait Dwight des brutalités des collégiens qui se montreraient violents à son égard..

L’année précédente, un joueur de baseball fit l’erreur fatale de ridiculiser Dwight devant ses coreligionnaires, cet élève postulait pour une bourse, il devait l’obtenir s’il se montrait aussi performant que l’année précédente, malheureusement, avec un bras cassé, une mauvaise fracture, on ne peut pas prétendre réaliser une bonne saison sportive.

Comme l’infortuné athlète qui venait de lancer les livres de Dwight dans la pou-belle, il ne sut jamais qui l’avait agressé. La seule chose qu’il savait c’est qu’il gi-sait par terre, les lèvres fendues, trois dents cassées, il avait alors entendu une voix grommeler :

– “Si touches à un seul cheveux de Dwignt, ou si tu le brutalises à nouveau, tu ne pourras plus bouffer que de la purée….”

Une seconde plus tard, il vomissait tripes et boyaux après avoir reçu un coup de pied dans les couilles. La mâchoire fracturée, tenue par des broches, le jeune athlète était bien incapable d’intégrer l’équipe de basket.

C’était assez surprenant de voir un couple d’amis si dissemblable, Dwight ne s’in-téressait qu’à la lecture, ils se réunissaient principalement lorsque Nate avait be-soin d’aide pour faire ses devoirs, ce qui arrivait presque tous les deux jours.

Ils habitaient deux immeubles voisins, et Dwight était habituellement si solitaire que ses parents s’étaient réjouis quand ils avaient vu qu’il avait un véritable ami, étrangement, ils riaient avec les camarades qui se gaussaient de leur paradoxale amitié Dwight se referait à son ami l’appelant : – “l’athlète noir muet” alors que Nate se moquait de son pauvre visage boutonneux de blanc.”

Athlète talentueux, Nate avait beaucoup d’admiratrices au collège, alors que Dwight n’avait jamais fréquenté de fille, et que cela n’entrait pas ses projets.

Nate cherchait à convaincre son ami de se lancer, et de ne pas se tracasser parce qu’une fille lui tournait le dos.

Un soir, alors qu’une fois de plus il cherchait à convaincre Dwight de draguer les filles, il lui demanda :

– “Y-a-t-il une fille dans le collège qui te donne la trique?”

Voyant son ami hocher la tête, il se demanda qui ce pouvait bien être ça deman-dait une petite enquête …. “

Alors que Dwight l’aidait à solutionner son problème de math, Nate le poussa du coude, l’interrogeant sur le nom de sa dulcinée …..Il voyait que son copain était très embêté.

– “Allons Dwight ….Tu sais que ça restera entre nous …. Dis-moi qui te fait bander…..”

Grinçant des dents, ayant besoin d’exprimer son amour pour son adorable prof, Dwight allait le dire à son seul et unique ami.

– “D’accord Nate ….Mais tu me jures que ça restera entre nous, et que per-sonne n’en saura rien ….. “

Le voyant hocher la tête en signe d’approbation, il hésita quelques secondes, puis se lança :

– “La seule qui me fasse vraiment bander , c’est …. Mademoiselle Emerson …..

Ebahi parce qu’il venait d’entendre, Nate regardait son ami les yeux vides, il lui demanda de confirmer :

– “Mademoiselle Emerson?…… Ta prof de maths?…..”

Dwight murmura un oui misérable, effaré Nate retomba dans son fauteuil et soupi-ra profondément.

Il avait déjà croisé la jolie mademoiselle Jennifer Emerson dans les couloirs du collège, mais il ne l’avait jamais approchée d’assez hatay escort près pour avoir la trique à sa vue.

Il n’avait jamais fréquenté ses classes et ne les fréquenterait jamais, elle n’exer-çait que dans les classes accueillant des surdoués.

Nate ne se moqua pas de Dwight, un jour qu’il était convoqué au bureau du prin-cipal, il passa par les couloirs et s’arrêta pile en face de la salle de classe de ma-demoiselle Emerson, elle était assise à son bureau, ses longues jambes sexy croisées l’une sur l’autre, il vérifia que personne ne l’observait, il se rua alors sur la porte et toqua pour l’attirer au dehors, elle se leva découvrant largement ses cuis-ses qu’il put mater, et vint ouvrir la porte pour voir qui avait toqué, mais Nate était déjà reparti.

– “Bordel, Dwight…. Elle est drôlement baisable ta prof….C’est pas une de ces stupides minettes avec lesquelles on baise facile ……J’ai pas plus de chance que toi de m’la faire ……As-tu vu qu’elle porte une alliance… Comme c’est là elle va bientôt épouser un de ces poseurs de blanc ……Et t’aimerai te la faire bien sûr ….. cette salope ……..”

Bien qu’entêté, Nate était incrédule.

Maintenant qu’il avait dévoilé son secret à son seul et unique ami, Dwight voulait lui en dire plus.

– “Je rêve d’elle chaque nuit depuis que je l’au vue l’année dernière dans sa classe. Elle … Elle, je ne pense qu’à elle quand je suis en classe, … et le soir dans mon lit…” commenta-t-il pour son ami.

– “J’aimerai qu’elle voit en moi un homme ……pas un élève …… Ou un pauvre type …..” continua-t-il rêveusement.

– “Eh mon gars … Fais attention où tu mets les pieds …..Tu ne pourras jamais la baiser ……Tout ce que tu risques c’est de te faire virer ….. Tu n’es qu’un de se élèves …… Tous les élèves se payent une de ces triques quand ils la croisent …..La salope, ce que j’aimerai passer la nuit dans son lit …….Mais pour ça faudrait l’enlever … La violer …..Oublie ça mon ami ……” lui conseilla finalement son copain.

C’était la deuxième année que Jennifer Emerson effectuait, elle était chargée de la classe des surdoués et prenait cela comme un honneur.

Agée de 25 ans, elle était toute excitée à l’idée d’épouser Tim Harrington son amour des années collèges. Sa licence d’enseignement en poche, elle avait été toute surprise d’être contactée par le principal du lycée pour prendre en main la classe des surdoués.

Au départ cela l’effrayait un peu d’enseigner à un niveau bien supérieur à celui du collège. Ce genre de poste fort bien rémunéré, était rarement proposé à un débu-tant, pour l’enseignant chargée de ces élèves qui sortaient de l’ordinaire, c’était une attestation de sa compétence, mais le principal du lycée était un ami de son censeur et il l’avait chaudement recommandée. C’était le pourquoi de cette propo-sition.

Elle fut convaincue en apprenant qu’elle n’aurait affaire qu’à de jeunes étudiants sérieux et doués, qu’elle n’enseignerait que dans les classes d’élite. On n’y trou-vait pas de drogués ou d’élèves grossiers encore moins des fauteurs de troubles. Cette constatation du principal la mit à l’aise et elle accepta le poste espérant y obtenir la qualification idoine pour enseigner à ce niveau.

Jennifer mettait un point d’honneur s’habiller élégamment, elle voulait se montrer professionnelle jusqu’au bout des ongles. Elle savait d’expérience, elle l’avait maintes fois constaté dans ces années collège, que les hommes se sentaient atti-rés par elle, elle en avait parfois joué, s’habillant de façon parfois un rien sugges-tive. Tout le monde la complimentait sur sa beauté, mais ces compliment l’embar-rassaient, elle en était assez peu friande.

Sa beauté naturelle avec ses longs cheveux bruns faisait tourner la tête des hommes, beaucoup pensait que elle était modèle de mode, ce qui lui aurait d’ail-leurs assez plu. Dans l’exercice de ses fonctions, elle s’habillait élégamment mais de façon très classique, parfois même sévère.

De toute manière quoi qu’elle porta elle charmait l’oeil de ses étudiants et des membres de l’équipe éducative. Elle était si absorbée par la préparation et la te-nue de sa classe qu’elle ne prêtait aucune attention aux regards concupiscents qui se posaient parfois sur elle.

Comme les cours se terminaient à la mi-juin, elle espérait épouser son futur fin juin. Ces deux dernières années, Tim travaillait dans une ville éloignée, leurs rela-tions se bornaient à des échanges téléphoniques, et aux rencontres du week-end.

Maintenant que Tim avait obtenu son transfert, ils avaient pu fixer la date des no-ces, ils avaient même consacré une somme assez importante à l’achat d’un petit pavillon dans la banlieue.

On arrivait à la troisième semaine de mai, et Jennifer voulait voir les travaux à ef-fectuer dans leur pavillon aussi vite que possible, ils en avaient pris possession la semaine précédente, et avaient déjà acheté un tas de fournitures, ils avaient de-mandé leur livraison à la mi juin ığdır escort à l’issue de l’année scolaire.

Jennifer considérait que le début des vacances formait un moment privilégié pour prendre possession d’un nouveau domicile.

Time devait retourner à son ancien appartement pour faire ses bagages et prépa-rer son déménagement, en fait Tim avait accumulé certains achats à son domicile et il fallait maintenant les rapatrier.

Comme Tim terminerait son déménagement à la mi juin, elle avait décidé de faire ses propres préparatifs ces trois week-ends.

Elle se sentait excitée, à la vue des nombreux articles qu’elle avait déjà emballés, elle se félicitait d’avoir loué un camion de déménagement et demandé à un de ses étudiants de l’aider.

De retour dans sa chambre, Nate se moqua un peu de son ami et de ses envies luxurieuses. Il voulait le convaincre qu’il n’avait aucune chance de tirer la jolie prof et qu’il fallait l’obliger à affronter la réalité.

– ” Navré mon ami, mais il ne te reste qu’à rêver d’elle la nuit, comme on es-père un bon dessert.”

– “Mais bordel, fais face mon ami, tu n’as aucune chance de seulement te re-trouver seul avec la ravissante demoiselle Jennifer Emerson, pas plus que d’autres d’ailleurs! ……”

Dwight sourit tout excité :

– “Bon , je vais te dire ….. hier, mademoiselle Emerson a demandé si quel-qu’un voulait gagner une paire de dollars le prochain week-end, apparem-ment elle déménage dans un pavillon de banlieue qu’elle a acheté pour y vi-vre avec le type qu’elle épouse … J’ai sauté sur l’occasion et je me suis pro-posé pour l’aider. Bien sûr je n’ai aucune chance de me la faire ……Mais je suis tout excité rien qu’à l’idée de me trouver seul avec elle toute la journée! …”

– “Ca alors …..tu vas être tout seul avec ta ravissante prof!…… ” s’exclama Nate ébahi.

Il ne se serait jamais attendu à ce que son malheureux copain prit l’initiative de proposer son aide, ce qui allait lui permettre de rester seule avec sa belle prof! Secouant la tête avec incrédulité Nate ne parvenait pas à le croire, mais Dwight avait l’air sérieux. Il lui demanda :

– “As tu préparé un plan? …”

Dwight haussa les épaules lui répondant :

– “Tu … Tu penses qu’elle me giflerait si je tentais de l’embrasser! ….”

Il soupira, sachant que son copain avait raison, il n’avait aucune chance de se la faire, il révéla :

– “Je rêve toujours d’embrasser ses lèvres si douces, puis de glisser mes mains sous son corsage pour jouer avec ses jolis tétons! … Et une fois que lui aurai caressé les seins, elle me laisserait lui sucer la chatte et nous fe-rions l’amour!….”

– “Si t’essayes de l’embrasser, elle t’arrachera les yeux Dwight ….” le prévint Nate.

Il ne voyait pas comment l’aider, mais il sentait sa queue s’ériger à l’idée ce qu’ils pourraient faire avec la jolie prof de maths.

Son copain était mal embarqué, il y avait un large ravin entre ses rêves et la réali-té, il ne pouvait l’en blâmer, lui aussi aimerait bien se la faire …

Il cherchait comment son copain pourrait profiter de cette journée seule avec la jolie prof pour concrétiser ses rêves. Peut-être bien qu’il existe un moyen d’en pro-fiter tous les deux! ….

Il réfléchissait.

– “Hey, Dwight …Est-ce que tu veux vraiment te faire mademoiselle Jennifer Emerson? ……Si oui, je connais bien un moyen sur de la baiser …….” l’in-forma Nate.

Dwight s’était figé, il fixait Nate les yeux écarquillés, ce dernier ajouta :

– “Tu vas te livrer à un travail physique pour l’aider à déménager …… Un mo-ment donné, elle t’offrira sûrement un rafraîchissement …..pendant une pause … Quand elle sera distraite, tu glisses une pilule dans son verre, ça l’assommera ou tout au moins ça sapera sa résistance. “

– “Tu penses à la …. A la violer!….” demanda Dwight effrayé par la proposi-tion de son ami.

– “Je veux lui faire l’amour, c’est sur …… Mais de là à la violer! ….”

– “Enfin si tu veux te la faire …… il suffit de corser sa boisson ….Mais je ne sais pas ou trouver une drogue … Crois-tu que je puisse l’acheter en phar-macie? ……” s’enquit-il.

Nate secoua la tête.

– “Avec tes connaissances tu crois que je pourrai en trouver? ….”

– “Mais bordel, y’a plein de dealers dans cette foutue école, tu peux te procu-rer tout ce que tu veux en rodant dans les couloirs …..Mais tel que je te connais, tu t’adresserais à la mauvaise adresse et tu te ferais casser ……Allez, je vais m’en occuper ….mais j’aurai aussi le droit de me la faire en second …..Je vais te dégotter une drogue qui va l’assommer totalement, ça va être d’enfer tu pourras la baiser tout ton saoul, éveillée et sans lutte. Imagine là se tortillant sous tes assauts quand tu lui mettras ta bite dans la chatte …….T’en fais pas copain je lui maintiendrais les bras immobiles, comme ça elle ne pourra pas t’arracher les yeux et tu pourras la baiser dans son petit trésor!…..”

Et, ısparta escort le week-end suivant, Dwight se présenta à l’heure juste au rendez-vous de Jennifer Emerson, poliment il salua la ravissante jeune prof.

Il suivait ses instructions, emportant les cartons étiquetés de la chambre à la porte d’entrée. Cette tache effectuée, ils firent de même avec les paquets qui encom-braient la salle de bain, puis ils chargèrent la camionnette. Enfin ils démontèrent quelques étagères qu’il faudrait remonter dans le pavillon.

Alors que Dwight travaillait à son rythme, Jennifer s’affairait fiévreuse-ment,emplissant de nouveaux cartons, cherchant à déterminer les choses dont elle pourrait se passer plusieurs semaines.

Puis le téléphone sonna, Jennifer répondit. C’était le magasin où son fiancé et elle même avaient commandé des fournitures,

– “Ok, c’est d’accord, livraison le mercredi 18 juin, c’est noté ….vers 10 heu-res, bien je serai là …..ce sera parfait, ainsi tout sera terminé pour le 21 …..l’adresse … Oui c’est ça ….355 rue du port … Dites à votre livreur que la maison est beige avec des volets brun sombre.”

Comme tous les intellectuels, Dwight avait toujours un stylo et un carnet sur lui, mademoiselle Emerson avait pris le coup de téléphone dans la chambre pendant qu’il empilait les caisses dans la salle de séjour,

Saisissant son stylo et son carnet, il nota l’heure, le jour et l’adresse de livraison. Dwight était si anxieux qu’il n’avait même pas remarqué la tenue habituelle de la jeune prof, au lieu des tenues ultra classique qu’elle arborait au collège, dans son appartement elle circulait pieds nus, ses longues jambes dépassant d’une courte jupe, s’en rendant compte Dwight se sentit tout excité, sa queue frémissait dans son pantalon.

La jolie mademoiselle Emerson portait un chandail, avec une courte jupe bleue clair et un corsage, Dwight avait bien du mal à décoller les yeux de ses pieds nus et de ses longues jambes. Une heure plus tard, elle posa une main sur son épaule, suggérant de faire une pause en buvant un coca.

Assis à même la carpette, le dos appuyé contre le mur, Dwight sirotait son coca. Ebahi, il vit mademoiselle Emerson prendre son coca et venir s’asseoir à ses co-tés, sur le tapis.

Il nota qu’elle s’y prenait habilement pour s’asseoir, plissant sa jupe contre ses jambes, pour ne rien révéler de son intimité.

Ils récupéraient ainsi cote à cote, Dwight aurait bien aimé que dans un coup de folie elle lui tombe dans les bras, ce qui lui aurait permis de raconter à Nate que tout était consommé.

Ils discutèrent à bâtons rompus pendant quelques minutes, elle le questionnait sur ses intérêts hors travaux scolaires, elle semblait vraiment s’intéresser à lui et juste au moment où il allait lui confier ses désirs, le téléphone sonna à nouveau, il la regarda se ruer dans la chambre pour répondre à l’appel, abandonnant son coca sur la carpette.

– “Salut chéri ……Je te manque tant que ça …..j’espère que tu reviens ce week-end …”

l’entendait Dwight répondre au téléphone, à cet instant le plan concocté avec Nate lui revint à l’esprit, à l’entendre discourir avec son bien-aimé au téléphone, il comprit qu’il n’avait aucune chance de se la faire autrement qu’en suivant le plan de Nate, il prit donc la pilule que Nate lui avait remis plus tôt, et il la glissa dans la boite de coca de mademoiselle Emerson.

Puis il la secoua brièvement pour faciliter la dissolution de la pilule dans le breu-vage épais avant de l’amener à mademoiselle Emerson, conversant avec son fiancé, assise sur le lit.

Sirotant une lampée de son coca, il tendit sa boite à mademoiselle Emerson, elle lui sourit en remerciement tandis qu’il repartait continuer sa tache.

Abandonnant mademoiselle Emerson dans la chambre, il se rendit dans la salle de bain, hors de vue de la belle.

Coeur battant la chamade, il se dirigea tout droite vers le carton de vêtements sa-les qu’il avait remarqué plut tôt.

Il ouvrit le couvercle et jeta un oeil sur le contenu, le carton contenait des petites culottes roses, des soutiens-gorge et encore d’autres sous-vêtements. Il prit un des soutiens-gorge, et la main en cloche sur le bonnet il apprécia la taille des seins de la belle.

Drapant le soutien-nibard sur le carton il prit alors une soyeuse petite culotte rose., la portant à ses narines, il inhala fortement se régalant des flagrances inti-mes de la jolie prof, puis il lécha avidement le fond de la petite culotte.

Jennifer écoutait Tim lui préciser ce qu’il faisait, quels effets il emballait.

– “Oui, l’élève dont j’ai loué les services m’aide à démonter les étagère du salon et de la salle de bain, je vais emmener le plus possible de cartons ce week-end.

Ce garçon me donne un bon coup de main, je suis contente d’avoir loué ses ser-vices ….”

Mademoiselle Emerson aurait été bien étonnée en voyant le garçon si réservé se branler dans une de ses petites culottes.

Ayant juté dans la petite culotte de sa prof adorée, Dwight retourna dans la salle de séjour d’où il pouvait surveiller la chambre.

Il se remit à bander instantanément au spectacle de ses longues jambes dénu-dées, tout à la conversation avec son fiancé, Jennifer ne prenait pas garde à ce que sa position révélait de ses charmes.

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L’ombre du Passé Ch. 05

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Coulybaca Texte personnel

Chapitre 5 : Le dressage commence… Soirée au cinéma.

Cette première évaluation terminée, le véritable dressage commença.

S’allongeant sur le dos, Saïd l’attira à lui, écartant les cuisses, elle s’installa à l’aplomb de son monstrueux sexe érigé.

Lui appuyant sur les hanches, il l’engagea à s’enclouer sur la monstruosité qui lui tenait lieu de bite, élargie par les tests précédents, Aurore parvint sans trop de mal à engloutir le gros cylindre mafflu au fond de ses muqueuses, distendues par l’ampleur de la matraque, elle grimaça, força et parvint enfin à poser ses fesses sur le bassin poilu du moricaud.

Une main impatiente la courba vers l’avant, avec soulagement, elle sentit Mokram s’installer entre ses deux hémisphères, elle avait craint que ce ne fut Moktar le préposé à l’élargissement, son intestin admit sans trop rechigner les vingt premiers centimètres, elle se sentait emplie à ras bord, pleine à craquer, et cependant il poussait encore, petit à petit son boyau se déplia faisant place à l’envahisseur, des gouttes de sueur aigre perlèrent à son front, la hampe continuait de progresser, les obstacles cédaient un à un, ça n’arrêtait pas, il lui semblait que la longue flamberge allait lui ressortir par la gorge.

La douleur lourde, lancinante, lui vrillait les reins, enfin, elle sentit le picotement significatif des poils frisés contre sa croupe dodue, il était en place et bien en place, elle geignait maintenant, des larmes d’effort embuaient ses yeux agrandis par la souffrance.

Immobile jusqu’ici, Saïd se mit en branle, l’un sortait de son ventre tandis que l’autre s’enfonçait dans son cul, et vice versa, il lui semblait être une boule de bilboquet que se disputerait deux joueurs, abrutie de douleur, un cri plaintif jaillit de sa gorge, elle n’eut pas l’occasion de se plaindre bien longtemps.

Moktar s’engouffra dans la bouche grande ouverte, la bâillonnant mieux qu’avec une poire d’angoisse, il lui lésa d’entrée la luette, la repoussant, la repliant dans l’arriÈre gorge.

D’un violent coup de rein, il engagea son gland dans son œsophage, lui bousculant les amygdales, secouée de hauts le cœur, ses sursauts permettaient à la queue de progresser par saccades dans son larynx, d’un dernier coup de boutoir sauvage, il lui enfonça le nez dans les poils de son pubis et se délivra longuement dans sa gorge frémissante . Suffoquant sous le flot crémeux, hoquetant, elle déglutit, les spectateurs contemplaient avec surprise les ondes qui coururent sur sa gorge tout le temps qu’elle avala le foutre épais.

Tandis qu’il se relevait, elle sentit vibrer, puis trembler les chibres de ses deux autres chevaucheurs, la saisissant aux hanches, Saïd l’embrocha jusqu’à la racine sur ses couilles tandis que Mokram se propulsait encore plus profondément au cœur de ses entrailles, ils se raidirent et éjaculèrent simultanément, les jets tièdes lui éclaboussèrent en même temps utérus et intestin, avec un plop de bouteille que l’on débouche, Mokram décula, lentement, elle put se relever.

Les yeux exorbités, elle dut prendre les chibres poisseux entre ses lèvres luisantes et ranima leur érection, cette fois les choses devenaient sérieuses, ils allaient varier les positions.

Effectivement ce fut Moktar étalé sur le dos qu’elle dut enjamber, après la visite de Saïd, le calibre de Moktar lui sembla ridicule, tout au moins dans les premiers instants, puis arriva l’instant fatidique ou il heurta le fond de sa matrice, elle pensait, comme les spectateurs qu’il se contenterait de vingt cinq centimÈtres dans sa chatte, malheureusement, considérant qu’elle n’allait pas se plaindre pour cinq malheureux centimètres, il entreprit de pousser, avec un hurlement de douleur, elle sentit le gland s’immiscer dans le col de l’utérus, tremblante de tout son corps elle sentit Moktar accroître encore sa pression, cela craquait dans son ventre comme dans sa tête, des éclairs elazığ escort de feu couraient sous ses paupières, elle gémissait maintenant sans discontinuer, elle se voyait éventrée, détruite à jamais.

Dans un dernier grognement de plaisir il parvint à ses fins, son canal s’allongea démesurément, tandis que le col de son utérus s’arrondissait pour étrangler l’immonde envahisseur engagé de tout son gland, elle défaillit, jamais elle ne s’était sentie aussi pleine, elle se trouvait enceinte de l’invraisemblable flamberge, tout son intérieur la brûlait, jamais elle n’avait eue à supporter cela.

Et cela ne faisait que commencer sentant quelqu’un approcher dans son dos, elle tourna la tête et vit, avec effroi, Saïd son énorme braquemart tendu s’installer entre ses fesses, sa croupe se couvrit instantanément de chair de poule, elle voulut se dégager, mais Mokram la bloquait sur son ventre, lui interdisant tout retrait.

Affolée elle sentit l’énorme champignon violacé buter sur sa rosace, bien que dilatée celle ci ne pouvait accueillir sans mal un tel hôte, il poussa des reins, son anus se replia vers l’intérieur, interdisant le passage.

Se remettant en position, à deux doigts il dilata la bague crispée, les fronces ridelées s’ouvrirent assez pour permettre l’introduction de la pointe du gland, assuré de ne plus se retrouver bloqué par l’œillet se retournant sur lui même il entreprit de forer son trou, la douleur sourde, violente irradia son anus, on lui aurait découpé la rondelle au rasoir cela lui aurait fait le même effet , d’un brutal coup de boutoir, il introduisit la totalité du gland, elle poussa un beuglement de désespoir, Moktar la bâillonna alors avec un mouchoir qui traînait au sol, lui introduisant en boule dans la bouche, elle mordit la toile, la déchirant des dents.

Immobilisé dans ses entrailles, il reprenait son souffle, le sphincter tendu à craquer lui enserrait la base du gland comme un lacet le cou d’un lièvre.

Avec un cri sourd il poussa violemment, il lui sembla que la bite insatiable lui arrachait le muscle annelé, l’entraînant comme une bague dans ses entrailles, il n’en était rien, plus prosaïquement, la pine était rentrée à mi longueur dans son rectum, le sperme qui en couvrait les parois ne facilitait pas le glissement, et pourtant elle l’aurait cru au vu de la dose que Mokram lui avait mise auparavant.

D’un dernier élan dévastateur il se planta jusqu’à la garde dans son intestin, elle pleurait maintenant comme un chien battu, le baillon ne laissant passer que de sourds vagissements, la douleur était si forte, que cette fois au craquement de son cul correspondit son évanouissement . Ses deux tortionnaires en profitèrent pour ménager leurs forces.

Elle revint lentement à elle, un mouvement rude de son enculeur la rappela à son cauchemar, le pivot dans son ventre se mit en action, déculant presque en entier, seul le gland restant enfilé d’un coup d’une violence extrême il la pourfendit, l’embrochant jusqu’à la garde, le corps baignant de sueur, les larmes lui inondant le visage elle sentit ses deux tourmenteurs accorder leur rythme, ils la limaient maintenant en alternance, ses reins surtout la faisaient souffrir, à chaque retrait elle avait l’impression qu’on lui arrachait le boyau, à chaque pénétration elle croyait que son cul se déchirait, que son ventre s’ouvrait en deux, le coulissement des deux queues perdit de sa régularité, les coups de bou-toir se firent encore plus amples, à la limite du supportable et cependant elle se réjouit, son calvaire tirait à sa fin, lorsqu’ils éclatèrent en flots brûlants dans son fondement et son ventre, elle crut que de la lave en fusion éclaboussait ses intérieurs, elle tourna de l’œil à nouveau.

Lorsqu’elle revint à elle, elle gisait telle un pantin sur le lit, elle glissa une main apeurée sur son ventre, appréhendant de constater des dégâts irréversibles, pourtant bien que sa cramouille erzincan escort fut terriblement douloureuse, elle ne remarqua pas de blessures particulières, aucune tâche de sang ne souillait ses doigts comme elle l’avait imaginé.

Aventurant sa main plus loin, elle ne reconnut pas son mignon petit trou, il béait tel un cratère d’au moins huit centimètres de diamètre, il ne parvenait pas à se refermer.

Tout son corps lui faisait mal, elle était rompue et ne craignait qu’une chose, qu’ils recommencent.

– Pour lui éclater le cul, on lui a bien éclaté le cul ….. A l’avenir, il faudra acheter un peu de matériel pour avancer plus vite ….. On va te les dresser deux à deux ….. On commence lundi après-midi …. T’inquiètes pas ….. On s’fournira chez le gros Lulu …… Le sex-shop du centre ….. Tu paieras plus tard ….. On se fera un compte! …. D’accord les gars, j’vous en enverrai deux dès lundi ….. A vous d’voir …. Quant au matériel, j’passerai voir le gros Lulu , allez les filles …. On s’casse! ….

Elles ne se le firent pas répéter deux fois, se précipitant sur leurs frusques, même Aurore retrouva un regain d’énergie suffisant pour se revêtir en un clin d’œil.

Titubant sur ses jambes elle suivit ses compagnes qui prenaient le chemin du retour.

– Vous avez le dimanche pour vous remettre…. Corinne et Christine vous avez rendez-vous avec nos trois amis lundi à treize heures….. Soyez ponctuelles ….. Vous éviterez des ennuis…….. Les autres même heure chez Clothilde lundi! ….

Tranquillement ils rentrèrent à pieds, assuré de l’obéissance de leurs femelles, passèrent au sex-shop du gros Lulu, ouvrir un compte sur lequel Moktar et ses copains pourraient se servir, puis partirent retrouver Solange et Clothilde chez cette dernière .

Ils arrivèrent trop tard, mari et enfants étaient rentrés, n’insistant pas, ils se contentèrent de leur caresser subrepticement les fesses, leur donnant rendez-vous le soir même, leur enjoignant de contacter Pascale et Arlette.

Ils devaient se retrouver vers onze heures devant le ciné porno .

Elles furent exactes au rendez-vous, devant le lieu mal famé, des dizaines de clients faisaient la queue, les déshabillant du regard, se demandant visiblement ce que pouvaient bien faire quatre jolies femmes de la haute en cet endroit.

Ils ne tardèrent pas à le savoir, alors que Mohamed entraînait, comme convenu, Clothilde vers la cabine de projection, Ali s’installait au fond du cinéma, indiquant à chacune de ses femelles une rangée différente, leur enjoignant de se montrer prévenantes, et dociles avec leurs clients.

Un coup de tonnerre dans leurs petites tête, incapables de se révolter, baissant les yeux, elles prirent place toutes les trois aux endroits indiqués .

Quelques arabes approchÈrent d’Ali, un bref conciliabule et Arlette vit un grand dégingandé payer Ali puis se diriger vers elle

– Une pipe pour monsieur! …. ordonna Ali se souciant peu de l’avis de la préposée.

Son client resta debout entre ses cuisses, elle le débraguetta d’une main tremblante, une bite sale, malodorante jaillit du slip douteux, plissant le nez elle absorba le gland moite qui glissa en force jusqu’au fond de sa gorge.

Secouée d’envies de vomir, la mentule dégageait une odeur surette, correspondant d’ailleurs à son goût, mêlant urine et sueur dans un même parfum, envahie jusqu’à la glotte, elle s’appliqua de son mieux pour se libérer le plus rapidement possible de son labeur.

Arrondissant la bouche sur la queue malpropre, suçotant, coulissant sur la hampe rigide, elle ne tarda pas à voir ses efforts récompensés, il se soulagea longuement au fond de sa gorge, projettant dans son gosier des flots de sperme crémeux qu’elle ingurgita docilement.

Relevant la tête, elle attendit son prochain client, profitant de l’accalmie pour juger du sort de ses amies.

A quatre pattes erzurum escort au milieu de l’allée, la jupe troussée sur les reins Solange arrondissait les lèvres sur un énorme chibre d’ébène qui lui déformait les joues, un autre noir donnait de violents coups de reins, s’engouffrant dans son cul, Arlette distinguait parfaitement le sphincter dilaté qui baguait d’un bande velue la tige du gaillard, il la secouait d’importance, son corps tremblait au rythme des coups de boutoir que lui imposaient ses deux clients, roulant des yeux blancs, ils déchargèrent simultanément dans la bouche accueillante et les reins soumis, secouée de tremblement convulsifs, Solange se releva et comme Arlette attendit le prochain.

Provenant de l’autre rangée Ils entendirent des râles, un nord africain se soulageait abondamment dans le ventre de Pascale, provoquant l’éjaculation du grand nègre qui lui forçait les entrailles.

Ainsi de clients en clients, elles rapportèrent en une heure et demi de film, chacune 750 à 9 00 euros, épongeant chacune une quinzaine de clients qui, satisfaits de leur prestation promirent à Ali de vanter les mérites de ses gagneuses, de leur faire de la publicité en quelque sorte.

Toutes trois avachies sur les fauteuils, recherchant leurs souffles comprenaient qu’elles avaient maintenant franchies la dernière étape, elles étaient maintenant de la viande pour bordel, elles étaient toute trois conscientes d’avoir franchies l’ultime étape, les ramenant à leur situation antérieure, vingt ans plus tôt.

Pire encore puisque maintenant elles serviraient dorénavant au gagne pain de souteneurs .

Hagarde, épuisée, Clothilde les rejoignit, et leur raconta son calvaire, toute la durée de la projection elle avait été livrée au désir insatiable de trois brutes montés comme des ânes qui lui avaient défoncés le ventre, inondés la bouche et éclatés le cul.

Elle avait passé une heure et demi toujours embroché entre les trois salauds qui la maltraitaient, la rudoyaient sans cesse, la courbant sous eux, comblant leur lubricité insatiable, le récit de ses amies l’informa quant à leur sort commun à venir, cependant si cruelle était l’aventure, qu’elle supplia Ali de la faire travailler dans la salle la prochaine fois, elle préférait encore éponger quinze clients d’affilée que de se plier de nouveau à la lubricité des trois projectionnistes.

Accablée de honte, conscientes de leur déchéance, elles rentrèrent lentement dans leur logis, rejoindre le lit chaud de leurs petits maris, inconscients de leur déshonneur.

Ali et Mohamed raccompagnèrent Pascale, se soulageant abondamment dans sa bouche offerte, alors qu’agenouillée dans l’entrée de son appartement, elle frissonnait de terreur à chaque bruit, craignant par dessus tout de se faire surprendre administrant une fellation somptueuse à deux arabes, à deux pas de son mari, dans le quartier le plus chic de la ville.

Ali et Mohamed se régalaient de la voir fiévreusement arrondir la bouche sur leurs virilités, cherchant par sa technique qui se développait de leur soutirer dans les plus brefs délais le contenu des couilles.

La tête penchée, elle coulissa longuement sur les hampes rigides, enrobant les queues de salive, les entourant de la langue, suçant les méats poisseux avant d’enfin pouvoir aller se coucher, les papilles engluées de foutre conservant la saveur tiède de ses deux tourmenteurs sur son palais.

Ils rentrèrent satisfaits de leur journée, leurs projets prenaient corps, ils se trouvaient maintenant à la tête d’une cheptel de qualité, toutes bonnes baiseuses de surcroît, 10 bonnes salopes, aptes à faire de bonnes putes, si l’argent rentrait, rapidement ils pourraient installer leur lupanar, leurs gagneuses leur dégotteraient bien deux ou trois autres salopes qu’ils contraindraient à se prostituer en leur compagnie.

Quant à la clientèle, pas de souci à se faire, ces premiers contacts prouvaient largement qu’il ne manquerait pas de clients avides de s’amuser avec ces belles dames de la haute.

Tous les marginaux, les mal-aimés se régaleraient avec ces belles femelles, habituellement hautaines et dédaigneuses, plus qu’ils ne pourraient le faire avec des professionnelles.

Janvier 2008

Coulybaca

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Révolte 06: Un An Déjà!

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L’histoire se déroule dans un pays anglo-saxon d’Afrique. Pour en facilité la compréhension, les propos sont traduits pour plus de confort de lecture. Si ce récit commence doucement, rapidement il va se diriger vers la violence et le viol. Alors pour ceux qui n’aime pas le genre, ne lisez pas. Vous serez frustré et n’aimerez pas. Pour les autres, bonne lecture, en espérant que ce récit vous plaise autant que les précédents. Il a été écrit avec mon coauteur jlkarlos.

En aucune manière, des mineurs n’apparaissent dans ces histoires. Pour couper court à

toute spéculation, l’un des paradoxes de mes histoires est l’absence totale de mineurs. Même si certains récits peuvent prêter à confusions,les protagonistes seront obligatoirement majeurs.

Je profite aussi de ce chapitre pour passer un message personnel. Le français n’étant pas ma langue de naissance, je sais que je fais pas mal de fautes d’orthographes et de grammaire. En effet si à l’oral cela passe, cela passe plus difficilement à l’écrit. Cela peut gêner certains lecteurs, ce que je comprends parfaitement et m’en excuse devant eux.

Sinon, n’hésitez pas à laissez des commentaires, cela permet de voir quelle direction donner à l’histoire. Présente ou futur. Merci à vous et bonne lecture.

Un an déjà que la révolte a eut lieu. Sur les cent-trente-cinq millions d’étrangers, seul cent mille environs, sont encore caché dans le pays. Aucun ne l’a quitté après le début de la révolution. Sur les vingt mille qui étaient à l’étranger, seul une vingtaine n’ont pas encore été extradé vers l’Anglefrique. D’ici six mois, les étrangers cachés, comme ceux étant à l’étranger, auront tous été remis à L’Anglefrique ou repris par la police, les unités de traques et l’armée.

Les premiers bénéfices de la révolution se sont déjà fait sentir. Si il n’y a pas de salaire minimum pour les travailleurs venant de l’étranger, celui pour les Anglefricains est passé à mille cinq cents euros net. Chaque entreprise est obligée de faire travailler quatre-vingt-dix huit pour-cent de Anglefricains, un quota minimum. Il est de même pour les cadres et dirigeant des entreprises.

L’école est devenu obligatoire jusque à seize ans. Toutes les études sont totalement gratuite. Les étudiants ne devant les rembourser que si ils vont bosser à l’étranger. Les prix de l’alimentation, si ils ne sont pas fixés par l’état, le maximum de bénéfice est de vingt pour-cent par produit. Ce qui à fait diminué par dix le prix des denrées. Les matières premières, l’agriculture, l’élevage, les centres de loisirs, les métaux rare ou précieux, tout ce qui fait la richesse de l’Anglefrique est nationalisé. Les bénéfices sont redistribué. Des villes nouvelles voient le jour. Le bâtiment explose, on construit de partout. Le gouvernement tenant sa promesse de donner un logement à chaque hommes anglefricain, le nombre de pièce dépendant de sa famille. Policier et militaire voient leurs salaires grandement augmenté. La médecine devient totalement gratuite que ce soit pour les soins, les médicaments, les dents ou l’optique et ce, pour chaque Anglefricains. L’espérance de vie passa en un an de quarante ans à soixante ans. Et elle atteindrait quatre-vingt dix ans, un an plus tard.

La sécurité à aussi été renforcé. En un an, le taux de criminalité à baisser de façon incroyable. De pays le plus dangereux du monde pour les natifs du pays, il est devenu le plus sûr au monde. Bien entendu le fait que le viol de femme non mariée ne soit ni un délit, ni un crime, ne change rien à ce taux, car c’était pareil avant la révolution. Pareil pour la criminalité envers les ressortissants étrangers, qui de toutes façon était parfaitement protégé avant la grande purge.

Un revenu universel est donné à chaque Anglefricain mâle. Chef de famille ou célibataire. Chaque chef de famille recevant en plus, un revenu pour femmes et enfants. La polygamie est toujours interdite. Seul le droit de la femme ne connaît pas vraiment d’évolution. Le viol conjugal, les violences domestique, l’inceste ne sont toujours pas condamnable. Quand au viol, il reste non pénalisé en cas de célibat de la femme. Si elle est mariée, la peine peut aller jusque à cinq ans de réclusions, plus de gros dommage et intérêt pour le coupable. Sauf arrangement spécial avec le mari bien entendu. Ce qui peut éteindre les poursuites du ministère public. Afin de ne pas y avoir d’erreur, le gouvernement, remet à chaque mariée, un bracelet et un collier vert phosphorescent. Ainsi, chaque agresseur saura qu’il peut être pénalement responsable en cas d’agression sexuelle ou de viol sur la femme mariée.

La majorité sexuelle est fixé à quinze ans pour la femme. Par contre tout viol sur une mineure de moins de dix-huit ans, est considérée comme acte pédophile, et passible de la peine de mort. L’avortement par contre est reconnu comme un droit, et toutes femmes y a accès gratuitement.

Quand aux étrangers, ils sont protégé par les même lois que les Anglefricains, les femmes mariées venant vivre ou travailler kuşadası escort avec leurs époux dans le pays, se voient remettre la parure phosphorescente.

Par contre les étrangers étant présent avant la révolution, appelée aussi « La grande purge » ont un sort peu enviable. En effet, une loi du Général Abdou, fait que tout les étrangers de l’avant révolution, ont perdu leurs statuts d’humains. Sauf la poignée de ceux ayant participé, aidé ou financé le coup d’état du général. Eux sont devenu de vrais héros du pays, et des postes clés leurs ont été offert. Pour les autres, eux et tout leurs descendants sont ouvert à l’esclavage dans l’enceinte de l’Anglefrique. Certains seront donc offert aux héros de la révolution.

Avant la révolution l’Anglefrique était exploité par un contingent de cent-trente-cinq millions d’étrangers, à quatre-vingt-dix pour cent de sexe féminin. Les entreprises, y envoyant principalement des femmes, ce pays étant alors le plus sûr du monde pour les ressortissants étrangers. Ce qui leurs permettaient aussi de frauder les lois sur la parités apparut dans les pays occidentaux. Le personnel féminin d’Anglefrique faisant partie de l’entreprise, un grand nombre de femmes ici faisaient donc remonte le pourcentage de femmes dans lesdites entreprises, y compris pour l’encadrement ou les dirigeants. Mais le plus intéressant, elles se faisaient la main, apprenaient à maîtriser un poste important. Il y avait donc dix millions de travailleuses, bossant pour des boîtes étrangère, dans la grande majorité de jeune femmes débutante, venu se faire la main pour le compte de leurs entreprises.

Sur les cent-trente-cinq millions d’étrangers, la plupart étaient jeunes, ce qui explique qu’il n’y ait eut seulement un million d’enfants ou de mineurs. Ainsi que quatorze millions d’hommes, principalement des cadres, dirigeant ou propriétaire des entreprises exploitant le pays.

Vingt-cinq ans avant la révolution, en pleine crise financière mondiale, l’Anglefrique faillit être lâché par ses alliés historique, qu’étaient à l’époque l’Angleterre et les USA. Le tout sous la menace de la Russie et de la France, fustigeant la violation des droits de l’homme par le dictateur et président à vie. Ce dernier, pour redoré son blason au niveau mondiale, eut alors une idée de génie. Les caisses étant plus que pleine, les comptes du pays, enfin, ceux du président à vie, débordant de milliards, il eut une idée.

A l’époque, il n’y avait donc que vingt-cinq millions d’étrangers dans le pays. Pour en faire venir plus, et qui ne diraient que du bien de l’Anglefrique, il défiscalisa totalement les salaires des employées féminin. La dangerosité du monde pour les femmes fut aussi un atout pour lui. Il surfa dessus.

Il créa des universités entièrement féminine, proposant la gratuité totale des cours. Il débaucha les meilleures ou les plus prometteuse jeune professeurs d’université, en triplant leurs salaire. Il créa ainsi, les premières université cent-pour-cent féminine. Prof, élève, personnel administratif, membre de la sécurité, cuisines, tout les emplois n’étaient occupés que par des femmes. Les billets d’avions pour venir et pour repartir en fin d’études, seraient à la charge de l’état Anglefricains. Ainsi que deux voyages par an et par étudiantes pour aller voir leurs famille pendant les vacances. Ses universités trustèrent rapidement les premières places mondiale, et foule d’étudiantes, riches comme désargentées s’y inscrivirent. Les unes pour la renommées, les autres pour la gratuité. Le succés fut tel, qu’environs dix autres université virent le jour. Tout se passa entre femmes, même les magasins, les supermarchés qui furent crées autour des université n’employaient que des femmes, jeune, jolie et étrangères, débauchées dans leurs pays d’origine pour un salaire mirobolant.

Il créa aussi des centres de recherches, aussi bien informatique, que médicaux ou spatiaux. Le tout également, uniquement avec des chercheuses femmes, jeunes et prometteuses. Les moyens qu’il y mit dépassèrent même ceux des plus grand centre de recherches médicaux. Les chercheuses, ayant enfin des propositions de postes importants, avec de grands moyens, se ruèrent en Anglefrique. Quittant ainsi sans regret le monde misogyne de leurs pays d’origine.

Il proposa aussi des tas de postes à de jeunes orphelines. En effet, dans la plupart des pays, à dix-huit ans, les jeunes femmes sont mis à la porte de l’orphelinat. Sans réel avenir, il leur proposa aux choix un travail ou des études. Là aussi ce fut une ruée.

Rapidement la population d’étrangers arriva aux cent millions. Avec seulement quinze pour cent d’hommes, l’Anglefrique ne fut plus montré du doigt pour ses violations des droits de l’homme, mais comme celui à la pointe du droit de la femme. Toutes les associations féministe le montrant en exemple.

Exaltés par ses résultat, et surtout le changement de point de vu du monde sur lui et son pays, le président à vie continua sur kocaeli escort sa voie. Il créa des dizaines d’hôpitaux, gratuit pour les femmes de n’importe quel pays. Ils y fit installé les meilleurs appareils de soins. N’y engagea encore que des jeune femmes étrangères. Que ce soit en infirmières, en médecins ou en personnel administratif. Rapidement, ses hôpitaux devinrent là aussi les meilleurs du monde.

Il créa aussi des centaines de prisons dans le pays. Le monde étant en surpopulation carcérales, il leur proposa d’accueillir pour un coût cinq fois moindre, toutes leurs condamnées femmes de moins de cinquante ans. Là encore, le personnel seraient entièrement féminin, excluant ainsi toutes violences sexuelles émises par des hommes. Soutenus une fois encore par de nombreuses associations féministes, ses prisons se remplirent aussitôt. Les pays se chargeant de modifiés leurs lois, afin que les peines puissent se faire en Anglefrique.

Il créa alors la prison de très haute-sécurité, la plus sûre au monde. Proposant ainsi à tout les pays d’y envoyer leurs détenus les plus dangereux. Une fois de plus le monde se pressa de sauter sur l’occasion. Là encore, si une partie du personnel fut masculin, la grande majorité fut des jeune femmes.

Le pays arriva donc à cent-trente-cinq millions d’étrangers à majorité de sexe féminin et assez jeune. Devenu le pays des droits de la femmes, le monde ferma les yeux sur les atrocités que subissaient les un milliard cinq cent millions d’anglefricains. Devant l’adoration qu’eut le monde pour le président à vie, la France et la Russie finirent par se taire. En deux ans, le président à vie avait réalisé un miracle.

Mais dés que le général Abdou fomenta sa révolution, les deux pays, rejoint après par Israël, le soutinrent immédiatement. Quelques soient le coup de la révolte pour les étrangers vivant là-bas, et tous coupable pour le peuple anglefricain de leurs misères et leurs tourments. Vous connaissez la suite avec l’éclatement de la révolution.

Environs deux millions d’étrangers ayant pillé le pays sont morts pendant la grande purge. Un millions et demis d’hommes sur les quatorze millions que comptaient alors le pays. Cinq cent-mille femmes sur les cent-vingt-et-un millions y résidant. Toutes victimes de viols trop violents, ou trop nombreux. Certaine ayant été agressée par une foule de plus de mille hommes.

Pour les autres, leurs sorts ne fut pas plus enviable. Voir pire que la mort. Les hommes adultes furent envoyés dans les mines les plus dangereuses. Les garçon mineurs, furent envoyés dans des orphelinats, où ils seront bien traité, ont les rééduqueras, pour qu’ils deviennent de bon anglefricains, travailleurs et honnête. Toutes les femmes furent transformé en esclaves sexuelles gratuite pour les anglefricains. A cinq euros le coup pour les étrangers. Tout est permis sur elles. Sauf la mort ou les blessures irrémédiables. On peut les louer à la journée pour dix euros, cinquante pour la semaine. On peut les battre, les torturer pour vingt euros de plus la semaine, trois euros de plus par jour. Les enfants des putains comme les étrangères mineures au moment de la révolution sont mises dans des camps éducatifs. Elles y sont bien traitées et nourries. A leurs majorité, les baisables deviendrons des putains, les autres de simple reproductrice. L’Anglefrique est ainsi devenu la première destination mondiale du tourisme sexuel. Surtout que en plus, la compagnie d’aviation nationale pratique des prix défiant toutes concurrences. Moins cher que les vols low-cost, plus confortable que les meilleures classes affaires. Les pauvres femmes y sont violées pendant des journées de dix-huit heures, leurs temps de travail. Celle qui sont louées à la journée ou à la semaine ont presque l’impression d’être en vacances.

L’Anglefrique n’est plus le pays défenseur des droits de la femme. Mais comme la communauté internationale, ne veux pas être interdite de commercer avec, le monde se tait. En effet, tout pays menant campagne contre l’Anglefrique ne pourra plus commercer avec. Tout pays poursuivant les révolutionnaires, ne le pourra pas non plus. Pas plus que toutes entreprises faisant un procès au pays. Si bien que les cent-trente-cinq millions d’étrangers ont été comme effacé du monde. Perdu pour leurs famille et leur pays. Ils ne sont plus rien. Que du bétail juste bon pour le travail pour les hommes. Du bétail juste bon à être baisée pour les femmes.

Pour cette première année de liberté du joug étranger, les fêtes battent leurs pleins de partout. A l’amical des anciens révolutionnaires, c’est l’affluence. Le ministère de la reprise en main, organise un congrès , ainsi que des conférences, ou juste des réunions où tout les anciens combattants qui le souhaite, peuvent raconter leurs souvenirs à un psy. Le tout pour vérifier que aucun d’eux ne ressent de séquelles traumatique telle un trouble du stress post-traumatique. Tout sera enregistré, puis retranscris pour un service du gouvernement konya escort qui fera une synthèse pour le ministère de la reprise en main. Pas dans un quelconque but pénal, vu que toutes les exactions commises envers les étrangers et les collabos ont été dépénalisé. Aucun ne risque donc quoi que ce soit. C’est pour cela que les langues vont autant se délier. Tous vont raconter sans rien édulcoré ceux qu’ils ont fait pendant ces terribles jours. On y retrouve des têtes connus comme Joss, le gardien-chef et d’autres, mais aussi des inconnus. Voilà quelques exemple de ce que raconte ces anciens combattants de la révolution Anglefricaine.

Certains sont venus avec leurs victimes, devenu leurs propriété officielle. Joss et James sont donc là avec April et Hayley, le gardien-chef avec Nabilla. Tom aussi est là, avec Laurence et Jennifer, le reste de la tribu travaillant comme putain. On voit aussi Madou avec une Diana enceinte. Elle porte en elle une portée de singes modifié génétiquement. Sa quatrième en un an.

Le premier à parler lors d’une conférence surnommée « Souvenir de la révolution », est un colonel de l’armée de terre. Lui à pris d’assaut avec ses hommes le lycée britannique mixte d’excellence de Angla, la capitale du pays. Un des rare établissement à avoir une classe de jeune noir anglefricains. Par souci de compréhension, j’ai décidé de retranscrire de manière général ce qui c’est passé. Le colonel lui, a parlé à la première personne.

Dans ce lycée tout les élèves y sont majeurs. Il y a sept cents personnes dans l’établissement quand le colonel donne l’assaut. A part les vingt-cinq anglefricains, tout le reste, enseignant, personnel, élèves est de sexe féminin. Le colonel dirige une troupe de cent-cinquante soldats. Le lycée est sous contrôle en vingt minutes. Sans résistance aucune. Les hommes ont carte blanche. Il reste une classe. Déjà les premiers hurlements emplissent l’établissement. Pas difficile de savoir ce qui se passe, ce que tout ce qui est femelle subit. Lui entre dans la dernière classe, avec deux soldats. Pas besoin de plus. Surtout que les élèves sont des garçons, tous. Les trois hommes entrent dans la salle. La prof à environs quarante-cinq ans, blonde, les cheveux courts, elle porte une robe jaune un peu décolleté, arrivant au genoux. Elle donne des cours d’anglais, et est en train d’écrire au tableau quand les soldats entrent.

– Cela veut dire quoi? On est dans une salle de classe, sortez!

La prof n’a pas l’air de se rendre compte de ce qu’il se passe. Un des soldats lui donne un coup de crosse dans le ventre, elle se plie en deux. Le deuxième la force à se mettre à genoux, tandis que le colonel lui met son arme sur le front.

– La prof, un seul mot et tu es morte. Compris?

– Oui.

La prof fond en larmes, le colonel regarde les élèves médusés.

– Les jeunes, c’est la révolution, on prend en main le pays. On se venge de tout ses exploiteurs. Allez dans n’importe quelle classe et vengez-vous, on tiens le lycée!

Un élève se lève.

– Et madame Arthur?

– Elle est bandante, mais il y a des tas de salope plus jeune et plus belle ici. Sortez, après je l’abats.

– Monsieur, s’il vous plaît, ne la tuez pas.

– Pourquoi, c’est une bonne prof?

– Non, c’est une salope. Raciste, elle nous punit pour rien, plusieurs élèves noir de notre classe ont été exclu sans raison par elle.

– Alors pourquoi tu veux la sauver?

– Pour les venger. Puis Aline préférera sûrement qu’on la punisse plutôt qu’une balle dans la tête. N’est-ce pas Aline?

La femme fait un signe de tête affirmatif.

– D’accord, elle est à toi. D’autres volontaire?

Tout les élèves levèrent leurs mains. Le colonel se tourne vers ses soldats.

– Je reste avec eux pour voir ce qu’ils vont lui faire. Vous allez vous amuser avec des élèves ou des profs, à moins que vous préférez rester ici.

Les deux soldats sortirent. Le colonel revint à Aline Arthur.

– Si tu subits ta punition, en obéissant bien, je te laisserais la vie sauve, sinon, je t’abats quand ils auront finis. Compris?

Nouveau signe de tête affirmatif de la prof. Le colonel se recule alors contre la porte. Il regarde le jeune qui a parlé.

– Elle est à vous. Vu que c’est toi qui a eut l’idée, je te laisse prendre les choses en main.

– Merci monsieur.

– Et toi la pute, ma menace est toujours d’actualité!

Le gamin s’approche de sa prof. Elle est toujours agenouillée, en larmes.

– Debout.

– La prof s’exécute.

– A poils!

Aline le regarde, hésite à le supplier, mais la main du colonel posée sur la crosse de son arme l’en dissuade. Elle descend les bretelles de sa robe d’été, la laissant glisser au sol. La femme à le corps bronzé, encore ferme malgré son âge. Ses seins, environs du 85 B, sont en forme de poire, avec de petites aréoles brune, de petits tétons. Cette chienne doit faire seins nus, sa poitrine est autant bronzé que le reste de son corps. Ses seins, bien que légèrement tombant, sont encore ferme. Le jeune porte, en tremblant une main sur le sein gauche de la femme. Aline sursaute, en lâchant un petit geignement. Le jeune apprécie, c’est le premier sein qu’il touche. Il le malaxe doucement, comme si il a peur de le casser. Il le lâche, recule d’un pas.

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Les nouveaux Voisins

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Amateur

Je sort de mon pavillon et me dirige vers celui de mes voisins juste en face. Le cœur battant la chamade. Je manque de trébucher et de tomber tant je me dépéche. Non que je sois en retard mais j’ai peur que les voisins m’appercoivent dans cette tenue. Je suis habillée d’une mini jupe en cuire rouge sur des bas résilles à couture, mon haut noire, trop petit, moule mes seins de façon obcènes. Mes escarpins noir vernis aux talons aiguilles en acier me donne vraiment l’air d’une pute. Mais d’ailleurs , n’est ce pas ce que je suis devenue? Une pute au service de la famille Samba?

Comment ais je pu en arriver la?

Tout a commencé un mois plutot avec l’arrivé de nos nouveaux voisins. J’observais discrètement de la fenêtre de ma cuisine les déménageurs qui apportait les meubles dans le pavillon juste en face du notre. Le quartier résidentiel ou j’habite avec mon mari et ma fille est très calme , très bourgeois. Que des gens bien dans notre lotissement. Moi c’est Adeline, 45 ans, marié avec Franck depuis….Mon Dieu, des années….Ma fille, Roxanne a 21 ans. La nouvelle famille qui s’installe en face de chez nous est d’origine africaine. Le chef de famille est tres impressionnant à regarder. Très grand, plus d’1m90 facile, le crane rasé, très musclé. Sa femme est très belle, elle me rappelle un peu Michelle Obama. Leur fils est également très grand comme son père.

Pas mal, le fils….

Je sursaute et me retourne . Roxanne vient d’arriver dans la cuisine. Elle se joint a moi pour espionner nos nouveaux voisins. J’observe le chef de famille qui donnant un coup de main aux déménageurs prend un carton, il a enlevé sa chemise et torse nu, il soulève le carton a priori sans effort. J’avoue etre impresionné par sa musculature. Roxanne me fait la même réflexion.

Costaud , le type hein maman?

Oui .

Nous pouffons toutes les deux.

Bon, on arrète de mater…S’esclaffa ma fille. On devait aller faire des

courses.

Oui, allons y.

Nous nous préparons et nous sortons. Le couple nous regarde monter dans notre voiture. Je les vois qui se parle entre eux. Je me demande ce qu’ils se disent….

Le soir même, nous étions en train de diner quand on sonna à la porte. C’était nos nouveaux voisins.

Bonjour madame, nous sommes vos nouveaux voisins, et nous avons

voulu nous présenter.

Etonnée car cette pratique ne se fait plus trop de nos jours, je les invite à rentrer.

L’homme se présente.

Je m’appelle Issa Samba, voici ma femme, Malia, et mon fils Moussa.

Je presente mon mari et ma fille.

Souhaiter vous prendre une verre? Proposais je , très maitresse de

maison. Ils acceptent non sans avoir prostesté qu’ils ne veulent pas nous déranger comme il se doit, et comme il se doit nous affirmons qu’ils ne nous dérangent pas du tout .

Nous nous retrouvons à bavarder tranquillement dans le salon de notre pavillon autour d’un verre. kahramanmaraş escort Le courant passe bien et je les trouve sympatique. A part peut etre Moussa qui n’arrete pas de mater les jambes de ma fille devoilée par la robe courte qu’elle porte.

Issa a une sacré descente et il enchaine whisky sur whisky.

Malia porte une jolie robe rouge et elle croise et décroise les jambes régulierement. Comme elle est juste en face de moi, Je me rend compte qu’elle ne porte pas de sous-vetements et cela me laisse interloquée. Et troublée…..

Je me lève et me dirige vers la cuisine en lançant à la cantonnade que je vais chercher des gateaux aperitifs. Malia se lève aussitôt.

Je vais vous aider, Adeline.

Nous nous retrouvons dans la cuisine. Je prépare les apéritifs et me retourne . Malia est la et me regarde avec un sourire ambiguë.

Tu es très belle Adeline .

Je me sens rougir sous le compliments.

Tu as vu que je ne portais pas de culottes, n’est ce pas? J’ai vu ton regard

tout à l’heure.

Je rougis enore plus, je ne sais que répondre.

Et toi? Tu en portes une?

Je sens que ca va trop loin, je veux sortir de la cuisine mais je suis coincée entre la table et Malia.

Soudain, Malia pose ses mains sur mes seins à travers le chemisier que je porte . Je pousse un cri qu’elle étouffe en mettant sa main sur ma bouche.

Elle retrouse ma jupe plissée decouvrant mon string.

Ah mais oui, t’en portes une, Dorénavant, tu n’en porteras plus , compris!

Son ton a changé, Ses yeux aussi, ils deviennent dur et autoritaire. Malia me caresse la vulve à travers le string. Elle enlève sa main de ma bouche mais je ne cris pas, je ne dis rien….Elle continue de me caresser la chatte. Elle baissa mon collant couleur chair et mon string d’un coup sec. Je poussais un petit cri. Elle se releva et débouttonna mon chemisier tout en m’embrassant sur la bouche. C’est la premiere fois que j’embrasse une femme et qui plus est une noire. Cela heurte mes convictions catholique bourgeoise mais je suis dans l’incapacité de résister à Malia. Elle malaxe mes seins à travers mon soutient-gorges. Je pousse un gémissement et je me mords les lèvres. Elle baisse les balconnets et se penche suçant la pointe de mes seins, donnant de petits coups de langues. Puis , elle retourne à ma chatte. Me bouffant le clitoris avec science. J’ouvre la bouche sur un cri muet, j’ondule du bassin, j’halète.

Malia enfonca ses doigts dans mon vagin, les faisant coulisser rapidement en me regardant dans les yeux.

J’étouffe un cri quand l’orgasme me surbmerge me laissant dévastée. Malia m’ordonna de nettoyer ses doigts mouillées. Je m’éxecute, soumise, nettoyant ses doigts, léchant ma cyprine.

T’es une vraie petite salope, sous tes airs de bourgeoise.

Je rougis. Ne comprenant pas ce qu’il vient de m’arriver.

Nous retournons dans kastamonu escort le salon.

J’essaie de faire bonne figure en arrivant dans notre salon. Franck et Issa discutent à baton rompu et visiblement ils ne sont meme pas rendu compte de notre absence prolongée. Quoique….Issa me jette un drole de regard quand je m’assieds devant lui. Malia ne m’a pas autorisé a remettre mon string, j’ai donc la chatte a l’air. Comme si il savait…Je réalise soudain que Moussa et Roxanne ont disparu. Franck me dit que Roxanne est monté dans les étages faire visiter la maison à Moussa.

Oh mais excellent idée, Tu me fais visiter Adeline? Demande aussitôt Malia.

J’obeit et nous montons à l’étage de notre pavillon. Au milieu de l’escalier, Malia retrousse ma jupe plissée et m’ordonne de la tenir levée. Je continue de monter l’escalier bien consciente que Malia peut mater mon cul à loisir. Elle me donne des claques sur les fesses trouvant que je ne monte pas assez vite.

Nous arrivons dans le couloir conduisant aux chambres et je reste bouche bée et horrifiée par le spectacle qui s’offre à moi.

Roxanne ,debout, les mains posées sur le mur, robe troussée, cul à l’air, string roulée en boule dans sa bouche se fait baiser par Moussa qui la pilonne la tenant aux hanches. Ma fille halète, gémit, secoue la tête dans tous les sens. Je met ma main devant la bouche. Roxanne tourne la tête vers moi, Moussa l’oblige à avancer tout en restant au chaud dans sa chatte. Elle est face à moi maintenant et Moussa continue de la défoncer en grognant. Roxanne gémit sans discontinuer.

Malia ricane derriere moi.

Comme la mère, une vraie chienne.

Malia m’oblige à m’allonger par terre, jambes écartée devoilant ma chatte. Moussa positionne Roxanne à quatre pattes dans le couloir. J’entends les rires d’Issa et de mon mari en bas. Malia pousse la tête de ma fille vers ma chatte. Je la supplie d’arréter mais elle me donne une claque sur les seins pour me faire taire. La bouche de Roxanne se pose sur ma vulve. Moussa continue de la pilonner. J’entends son ventre claquer contre ses fesses.

– Léche ta mère, salope!

Roxanne sort timidement sa langue et commence à me lécher le clitoris. Doucement d’abord puis avec de plus en plus d’entrain. Je secoue la tête de droite à gauche en gémissant. Malia se positionne au dessus de mon visage et s’accroupit en retroussant sa robe. Elle m’ordonne de lui bouffer le clito. Et je m’éxécute lui léchant la vulve, donnant de grand coups de langue. Ma fille fait de même enfonçant ses doigts dans ma chatte pendant que Malia me caresse violemment mon clitoris. On entends plus que gémissements et soupir dans le couloir de notre pavillon. Roxanne et moi nous avons un orgasme quasiment en même temps. Moussa se positionne devant nos visages. Malia nous ordonnent de tirer la langue et nous obeissont. Moussa éjacule libérant un torrent kayseri escort de sperme qui vient s’écraser sur nos visages. J’en ai dans les cheveux, dans les yeux…Des filaments de foutre coule des lèvres de Roxanne sur son menton. Sous les ordres de Malia nous nous nettoyons le visage à coup de langues. Je lèche le visage de ma fille avalant le foutre de Moussa et Roxanne fait de même.

Nous sommes redescendu au salon et comme si de rien n’était la soirée se termina. Je pensais qu’on allait en rester la mais je me trompais. Moussa invitais régulièrement Roxanne chez lui. Roxanne y allait bien sur à mon grand regret imaginant aisemment ce qui s’y passait . J’etais à chaque fois réticente au grand étonnment de Franck, mon mari qui adore Issa et sa famille…Le pauvre si il savait!

Il arrivait souvent quand mon mari était au travaille que Malia débarque et joue avec moi ou avec Roxanne à grand renfort de gode et de vibromasseur. Un jour ou je rentrais de faire les courses, je découvrit Roxanne en talons aiguilles, un collier de chien autour du cou, baillonnée par une boule en latex enfoncée dans sa bouche, tenue en laisse à quatre pattes au milieu du salon défoncé par Malia equipée d’un gode-ceinture.

Je frappe à la porte des Samba. Angoissée. J’ai recu le matin un coup de téléphone de Malia me demandant, enfin m’ordonnant, de passer ce soir. Mon mari etait en voyage d’affaire et elle le savait, Roxanne étant inviter chez des copains.

La porte s’ouvrit et Malia dans une combinaison en cuir moulante, un gode-ceinture autour de la taille me dit d’entrer. J’entre et je reste interloquée. Ma fille Roxanne habillée d’une combinaison en résille avec les mêmes talons aiguilles que moi au pieds est debout au milieu du salon penchée en avant sur une table et elle se fait ramonner par Issa. Elle gueule comme une possédée. Je reconnus une autre de mes voisines. Madame Sully d’Apremont, vétue d’une robe de soubrette qui s’arrête à mi-cuisses dévoilant ses jambes gainées de bas resilles comme moi. Un collier autour du cou, des escarpins noir vernis aux talons d’acier. Elle rougit en me reconnaissant et lance un regard voulant dire :

« Que sommes nous devenues? «

Ell est empalée sur la bite de Moussa, ses seins se balançant sous les coups de pines du fils de la famille.

Je fut entrainée par Malia vers le canapé ou elle me jeta sans douceur. Elle pointa son gode-ceinture sur mon anus et m’encula violemment me faisant crier. Elle s’agite dans mon cul me tenant aux hanches. Bientot j’entends les cris de Roxanne et de Claire Sully d’Apremont qui subissent le même sort…..Cela dura jusqu’au petit matin….

Je suis à quatre pattes dans mon salon baisée comme une chienne par Issa qui me perfore l’anus avec sa queue d’Ebene. Malia, perverse, m’a enfoncé un vibromasseur dans mon sexe ce qui fait que je jouie doublement sous les coups de pines de Issa et le vibromasseur… A coté de moi, Roxanne pousse des cris stridents sous les assauts de Moussa pendant que Malia fait coulisser un gode dans sa chatte.

Un bruit de porte qu’on ouvre me fait tourner la tête :

Chérie? C’est moi, je suis rentré plus tôt…

Horrifiée, je vois mon mari avancer dans le salon découvrant l’ignoble spectacle…

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Gardes de nuit.

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Big Tits

Comment en suis-je arrivée là? A partir de quand tout à basculé? Et surtout que faire maintenant?

Pourtant, durant les premiers mois de travail avec Mathieu, rien dans son comportement n’avait laissé présager la suite.. Je dois même avouer que c’était mon collègue préféré. Depuis que j’avais commencé ces gardes d’aide soignante de nuit, je n’avait eu comme binôme infirmier que des machos arrogants et fainéants. Tandis qu’avec Mathieu c’était tout le contraire, il était drôle, très cool et ses histoires de nouveau père de famille étaient toujours sympa à écouter. Il me parlait souvent de sa femme, sa petite fille, et pourtant je ne sentais pas nos 20 ans d’écart..

Et puis une nuit, sans savoir pourquoi, il a changé du tout au tout.. Je m’en souviens comme si c’était hier : Nous étions dans la chambre de Mme Plassman, petite mamie tombée sous le charme de Mathieu qui n’essayait même pas de s’en cacher. A la fin du soin elle s’était exclamée “Je crois que la meilleure façon de vous remercier Mathieu est de vous embrasser”. Nous étions partis en fou rire et l’avions laissée pour prendre notre pause. Sur le chemin de la salle de repos, nous rigolions encore de son aplomb en plaisantant sur le “charme légendaire” de Mathieu. C’est, arrivés dans la salle, qu’il m’attrapa le bras pour me mettre face à lui et me dit:

“honnêtement Lia.. j’aurai préféré que se soit toi qui me demande un baiser”

Surprise je lui souris

“le fantasme de la minette en blouse ça fera toujours vendre” et essayai de reculer, mais c’est là que sa poigne devint plus forte :

“Juste un baiser s’il te plaît Lia, ça restera ente nous”

J’ai lu dans ses yeux un mélange d’excitation et de peur, et c’est là que j’ai compris qu’il était sérieux. J’eu un rire nerveux

“Arrête diyarbakır escort tes bêtises, qu’est-ce que tu me fais? On est juste des collègues, de très bons collègues certes, mais il n’y aura rien de plus”

A ces mots je vis son regard s’assombrir, la peur le quitter pour laisser la place à une sorte de froideur qui me fila des frissons. Il resta quelques secondes à me fixer calmement tout en me tenant toujours le bras et moi je restais là sans savoir comment réagir. Il relâcha peu à peu son étreinte pour finir par me caresser le bras

“ta peau est si douce.. S’il te plaît, ça fait tellement longtemps que j’en ai envie..

_S’il te plaît quoi? Tu crois qu’il suffit de supplier une fille pour qu’elle t’embrasse? Arrête un peu, ça devient n’importe quoi!

_Ah ouai t’es plutôt du genre à aimer quand ça se passe de force, c’et ça?”

Sa question déclencha en moi une angoisse qui me paralysa sur place. Avait il fait une allusion au viol? Qu’est ce qui lui prenait?

Il se colla contre moi sans que je sois capable de reculer, j’étais hébétée, comme figée sur place. C’est là qu’il m’embrassa. Le contact de sa langue humide et visqueuse qui se baladait sur mes lèvres ainsi que l’odeur de son parfum trop musqué m’écœurèrent et me ramenèrent à moi-même. J’essayais de le repousser, mais je l’avais déjà trop laissé m’approcher. J’étais maintenant coincée entre le mur et son imposante carrure. Il continuait à me fouiller la bouche pendant que je tentais vainement de le repousser. Déjà, je sentais ses mains descendre, remonter, pour mieux palper mes formes au travers de mes vêtements et avant même que je pus réagir il glissa sa main sous ma blouse.

“Lache moi maintenant s’il te edirne escort plait, tu vas trop loin! ça ne m’amuse plus!

_ Qui a parlé de s’amuser? J’ai tellement envie de toi.. laisse toi faire et tout ira bien.

_Si tu ne me lache pas je cris!”

Il rit :

“Et qui viendra? Un de nos patients paralysés?! Essaye un peu..”

J’ouvris la bouche bien décidée à me faire entendre, mais avant même qu’un son puisse en sortir je sentis son poing s’abattre sur ma joue. A terre, sonnée, je restais immobile tentant de comprendre ce qu’il m’arrivait. Il m’attrapa et me retourna sur le dos, vint s’installer à califourchon sur moi et d’un coup sec, tira sur ma blouse ce qui fit sauter les pressions et lui dévoila ma poitrine offerte dans son soutien gorge. D’un geste sur et habile il l’abaissa afin de dévoiler mes tétons et se mit à les sucer chacun leur tour en commentent de temps à autres :

” J’adore tes seins.. Les lécher ça m’excite grave.. Surtout qu’ils sont tous durs.. C’est que t’es chaude ma salope”..

Son poids m’écrasait, j’avais envie de vomir. j’essayais tant bien que mal de me dégager mais c’était peine perdue et il continuait à se faire plaisir sans se soucier de mes plaintes. Il semblait dans un état second, je ne le reconnaissait pas et c’est bien ce qui m’inquiétais.. Seule, à sa merci, comment allais-je m’en sortir? Jusqu’où comptait il allait?

Bien que le contact de son sexe en érection contre ma cuisse ne me laissait que peu de doutes.. Il plaqua son torse contre le mien et suréleva son bassin de manière à laisser mon entrejambe libre tout en me maintenant immobile sous son poids. Je sentis sa main glisser sous ma lingerie et fouiller mon intimité. Il me caressait maintenant le sexe edirne escort bayan en me regardant dans les yeux. D’un seul coups il enfonça deux doigts dans mon vagin et commença à faire des allers et venues brutaux. Je n’étais pas assez lubrifiée et je senti une vive brulure dans mon bas ventre. C’était comme s’il me déchirait de l’intérieur et plus j’étais terrorisée, plus je me desséchais, plus ça l’excitait et plus il y mettait de vigueur. Peu à peu il chercha à introduire de plus en plus de doigts, pour finir par se servir de toute sa main. Je sentais mon sexe distendu et pleurais de douleur tout en le suppliant de me laisser maintenant, mais il se contentait de me répéter que si je me laissait faire tout se passerait bien en me dévorant du regard..

C’est là qu’il sorti sa main de mon sexe meurtri, força sur les élastiques de mon pantalon et de ma culotte afin d’en dégager l’accès et approcha sa bite toute dure de ma fente.

Je réunissait mes dernières forces pour me débattre :

“Arrête, je t’en supplie!!

_ Chuuut.. J’ai pas fini, le meilleur reste à venir ma belle!”

Je sentais son gland humide glisser tout le long, remontant de mon anus jusqu’à mon pubis et au détours d’un de ses vas et viens il me pénétra d’un brutal coups de rein. Sous ses violents coups de butoir, ma poitrine dansait en rythme ce qui ne manquait pas d’attiser encore plus son désir, tandis que la brûlure qui me consumait le vagin depuis ses rudes va et viens, me poussait à émettre des gémissements qui au lieu de l’émouvoir, l’émoustillaient également. Il ne lui fallut pas longtemps avant que ces râles se transforment en gémissements.. Après cinq minutes qui me parurent une éternité, dans le dernier et le plus violent coups de bassin qu’il m’ait administré, il cracha son sperme en moi.

“Et bah! Quand je te disait que tu m’excite trop!”

A ces mots il se releva l’air satisfait et le plus naturellement du monde se rhabilla et sorti de la pièce sans me jeter un regard. Me laissant à moitié nue, en état de choc sur le carrelage glacé de l’hôpital…

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Manon en Enfer 25

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Brunette

DEFONCEE PAR UN BLACK

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Ce matin là Manon a rendez vous à neuf heures avec Bernard le directeur commercial dans la chambre d’hôtel habituelle.

Elle est surprise car il est accompagné d’un homme jeune aux cheveux crépus, de bonne corpulence et de type Africain.

– Issa je te présente celle qu’on appelle “la putain” et qui sert de cadeau ou d’appât pour nos clients ou les commerciaux des entreprises que l’on démarche –

L’air étonné le black regarde Manon mais ne répond pas.

– elle accepte tout. C’est une dévoreuse de bites insatiable qui aime aussi être rudoyée et maltraitée –

Issa répond avec un accent qui surprend la putain mais qui confirme que cela ne fait pas longtemps qu’il a débarqué en France.

– c’est rare une femme comme ça monsieur Bernard –

Le directeur commercial s’adresse à Manon.

– Issa est employé au nettoyage chez nous, c’est un sans papiers. Je l’ai amené car il a une caractéristique intéressante qui va t’intéresser j’en suis sur –

– je vous crois monsieur, vous savez ce qui est bon pour moi.

– tu vois la putain quand tu veux tu admets que ce qu’on a fait de toi est justifié –

– oui monsieur! j’admets volontiers que vous avez raison, j’ai bien un tempérament de putain, vous avez tout de suite compris ma vraie nature et en m’obligeant à me prostituer vous m’avez ouvert les yeux. Je sais maintenant qu’il y a longtemps que j’aurais du en faire mon métier car c’est ce que je sais faire de mieux –

Bernard sourit, il jubile en entendant ce que Manon dit.

– tu as enfin réfléchi et ouvert les yeux. Heureusement que tu ne te sois pas décidée de faire le trottoir avant car c’est mieux que ce soit nous qui profitions de tes talents de prostituée –

– oui monsieur! je sais que c’est bien pour vous et votre société J’espère que monsieur le DRH et vous même êtes satisfaits de mes prestations sexuelles, je fais le maximum pour le plaisir de vos clients, de vos amis ou de personnes de votre famille –

– ça peut aller, personne ne se plaint –

Deux sacs sont posés dans un coin de la chambre, Bernard en ouvre un et en sort trois appareils photos.

– bon passons aux choses sérieuses. La putain pendant que tu es encore habillée et que tu as la tenue parfaite de prostituée, mets toi devant le lit et reste debout –

Manon obéit, Bernard la prend en photo de face et un peu tournée sur le côté.

Elle est photographiée se déshabillant puis nue debout, assise au bord du lit ou sur une chaise, ensuite c’est à genoux ou couchée et tout ça dans différentes positions. Jambes allongées, écartées ou repliées. Ouvrant son sexe avec ses mains ou se cambrant.

Bernard ne lésine pas avec ses appareils, les clichés sont nombreux.

– maintenant Issa c’est à toi de jouer. Déshabilles toi et fait ce que je te dis. Si je suis satisfait tu auras droit de sauter notre putain –

– autant de fois que je veux –

– oui! c’est ce que je t’ai promis et je sais par tes collègues que tu peux remettre le couvert au moins dix fois –

Le black se déshabille, Manon le regarde faire et ce qu’elle voit la laisse bouche bée, elle est stupéfaite car l’homme à un sexe aux dimensions monstrueuses bien qu’il pende entre ses jambes et soit au repos .

– monsieur il ne va pas me mettre ça –

– si! c’est ce que je lui ai promis –

– il va me défoncer et me déchirer surtout sans préparation –

– je suis humain et j’ai pitié de toi. J’ai apporté ce qu’il faut –

Il vide le deuxième sac, en sort des godemichets de tailles bien différentes allant du petit jusqu’à l’énorme puis sort un tube de vaseline.

– Issa tu vas d’abord enduire sa chatte et son cul de vaseline, ensuite tu en feras autant sur chaque instrument avant de mersin escort les enfoncer dans son corps. Elle a beau être une putain il faut éviter de l’abimer sinon elle ne servira plus à rien –

– d’accord monsieur Bernard –

Pendant que Manon très inquiète se prête au jeu présentant le mieux possible ses orifices le black fait ce qui lui est demandé, Bernard sort et prépare une caméra tout en gardant un appareil photo en bandoulière.

– Issa maintenant que tout le matériel est prêt tu vas commencer par le petit modèle. Tu le mets d’abord dans sa bouche puis sa moule et enfin son cul, tu fais comme-ci c’était ta bite –

– bien monsieur Bernard –

Manon s’allonge sur le lit et Issa introduit le premier gode dans sa bouche et le fait aller et venir l’enfonçant trop profondément dans la gorge. La putain s’étouffe et est prête à vomir, son corps bouge dans tous les sens.

– doucement Issa, n’enfonce pas l’engin si loin. Passe à la moule –

Le black obéit, introduit l’objet dans la chatte de Manon qui a bien écarté les cuisses et il la gode. Ensuite elle doit de mettre à genoux et creuser les reins avant que son cul soit pénétré par le godemichet.

Depuis le début Bernard n’arrête pas de prendre des photos ou de filmer et continuera jusqu’à ce que tout ce qu’il a imaginé soit devenu réalité.

Les godes de plus en plus gros se succèdent dans les trois orifices de Manon et les pénétrations deviennent de plus en plus difficiles quand arrivent les très gros pour ne pas dire énormes.

La putain a beau ouvrir le plus possible la bouche à se déboîter la mâchoire les deux derniers engins pénètrent difficilement, elle s’étrangle et s’étouffe.

Quand Issa les enfonce dans sa chatte elle gémit pendant qu’il force et que les chairs de la chatte sont repoussées pendant la pénétration et les va et vient des engins dans son corps durent plus longtemps.

Enfin c’est le tour de son anus d’être forcé et si des godes précédents et plus petits ont commencé à agrandir l’orifice ce n’est pas suffisant. Issa doit y aller doucement et appuyer sur les engins suivants et surtout le dernier pour qu’ils pénètrent peu à peu dans le fondement.

Manon râle et pousse des cris pendant que le dernier godemichet aux dimensions imposantes fait des aller retour dans son cul.

– c’est bien Issa, ça suffit. Elle est suffisamment ouverte, maintenant tu va te servir de ta bite –

– d’accord monsieur Bernard –

– je vais continuer à photographier et filmer, cela servira pour montrer à nos clients ce qu’elle est capable de supporter –

Manon regarde dans la direction du black et s’aperçoit qu’il bande et que son pénis qu’elle trouvait déjà énorme au repos a maintenant des dimensions qui lui font peur.

Bernard explique à Issa qu’outre les pénétrations il doit éjaculer dans les orifices mais également autour en se retirant assez vite.

Le black s’installe à califourchon sur Manon les fesses pratiquement posées sur les seins et présente sa queue devant sa bouche qu’elle ouvre le plus qu’elle peut ce qui n’est pas encore suffisant car il doit s’employer et utiliser le poids de son corps pour en faire pénétrer une petite partie de sa longueur.

Heureusement pour la prostituée, qui n’arrive plus à respirer et dont la mâchoire est trop sollicitée et douloureuse, l’homme a trop envie et son pénis tressaute puis le sperme commence à gicler d’abord dans sa gorge puis sur sa figure après qu’il soit sorti de sa cavité buccale.

Bernard qui s’est fait plaisir en prenant des photos et en enregistrant tend une serviette à Manon.

– essuie toi la putain, on va passer à ta moule pendant que ton étalon bande encore –

Issa s’allonge sur Manon qui écarte ses jambes au maximum, elle doit l’aider avec muğla escort ses mains à positionner la verge, qui n’a pas perdu de son volume, contre l’orifice et quand il se sert du poids de son corps pour la faire pénétrer dans la chatte elle a le souffle coupé et râle pendant que le membre s’enfonce doucement en elle en forçant et écartant les chairs.

Quand le pénis bute au fond du vagin il en reste un bon morceau à l’extérieur. Les va et vient du membre commencent, les doigts de Manon se crispent dans les draps, elle a du mal à supporter les coulissements de l’énorme membre en elle et est très bruyante.

Trop enserré dans la grotte de la prostituée Issa ne résiste pas quand la jouissance arrive et si des jets de sperme frappent le fond du vagin il se retire vite arrosant aussi le ventre de la femme.

Le sexe de Manon d’où s’échappe le sperme est bien ouvert, son pubis et ses cuisses sont couvertes de semence. Tout cela fait le bonheur de Bernard pour ses photos et enregistrements, il ne cesse de répéter que c’est parfait pour donner envie à ses clients de sauter la putain.

Arrive le moment redouté par Manon, c’est son cul qui va être sollicité. Mais d’abord elle doit parfaire l’érection car Issa a un peu débandé.

Elle lèche et embrasse partout la queue ce qui lui prend quelques minutes vu la grosseur et la longueur puis elle suce surtout le gland tout en se servant de ses deux mains pour masturber le monstre.

Elle essaie bien de prendre la verge dans sa bouche mais ce n’est pas concluant.

Comme il bande correctement très rapidement elle doit se mettre à genoux, ce qu’elle fait tout en creusant les reins et mettant sa tête sur ses bras repliés posés sur les draps.

Après avoir un peu tâtonné Issa qui est à genoux derrière elle arrive à placer son énorme queue contre l’orifice annal déjà partiellement ouvert suite aux pénétrations par les godemichets.

Les mains agrippées aux hanches de la prostituée et s’aidant du poids de son corps il pousse, la queue enduite de vaseline pénètre difficilement dans le cul repoussant fortement les chairs. C’est douloureux pour la femme qui pousse des cris pendant que le membre s’enfonce dans son corps.

Conscient de la douleur que ressent la prostituée Le black s’immobilise et regarde dans la direction de Bernard. Impitoyable celui-ci lui donne l’ordre de continuer.

Issa reste sans bouger pendant un instant se demandant s’il doit désobéir aux ordres du directeur commercial puis il se dit que si celui-ci n’est pas satisfait il va se retrouver à la rue sans emploi et certainement dénoncé comme immigré clandestin.

Il commencer à faire bouger doucement son corps faisant aller et venir sa queue dans la fondement de Manon qui réagit toujours aussi bruyamment. Heureusement pour elle que le black arrive à jouir facilement surtout en étant enserré dans un fourreau trop étroit pour son pénis.

La queue tressaute dans la cul de Manon et si le sperme commence à y couler c’est surtout sur ses fesses qu’il se répand car l’homme a sorti précipitamment et sans douceur la verge de son fondement.

Après avoir filmé et pris encore quelques clichés Bernard est en extase devant l’anus de Manon très ouvert, béant et couvert de sperme tout comme ses fesses.

Le directeur dit que c’est bon pour lui, il a ce qu’il lui faut en photos et films.

– avec ça je vais pouvoir éditer un document destiné à ceux à qui je vais te proposer la putain et aussi créer une page sur internet dans le but de te louer comme prostituée à un bon tarif, je pense par exemple à mille cinq cents euros la nuit.

Ce qu’il envisage n’a pas d’effet sur Manon blindée par ce que lui et le DRH lui font subir.

– vous comptez me faire travailler vingt quatre heures sur vingt quatre nevşehir escort monsieur –

– oui! si je peux te trouver des clients pour le matin, d’autres pour l’après midi et encore d’autres pour la soirée ou de préférence la nuit –

– si vous réussissez je vais être très occupée monsieur et vous rapporter beaucoup d’argent. Qu’est ce que j’y gagne –

– du sperme et le plaisir de te faire sauter, c’est déjà bien pour une putain comme toi, tu ne trouves pas –

– si monsieur. Vous avez raison. Je suis totalement à votre service et vous pouvez faire de moi ce que vous voulez –

– c’est bien d’être obéissante. Ce n’et pas le tout car je dois m’en aller. Issa va maintenant prendre le plaisir que je lui ai promis, soit gentille avec lui –

– oui monsieur –

Bernard se déplace dans la chambre puis lève un bras, Manon comprend qu’il met en route la caméra et que son calvaire va continuer et empirer.

– la putain je te laisse avec Issa, amusez vous bien tous les deux –

Une fois que le directeur est sorti et que la porte de la chambre est refermée le black s’approche du lit.

– fais ce pourquoi tu es ici –

– vous êtes sure madame –

– mon nom est “la putain”, allonge toi à côté de moi –

Manon s’occupe de l’énorme pénis. Elle le caresse s’aidant de ses deux mains puis se penche dessus pour l’embrasser et le lécher avant de le masturber tout en essayant de lui faire une fellation mais comme elle a du mal à le prendre dans sa bouche elle s’occupe du gland qu’elle lèche, suce et aspire.

Comme le black bande de nouveau rapidement il se met sur elle et pénètre sa chatte puis fait aller et venir sa verge dans la chatte pendant qu’elle râle. Il ne se passe pas beaucoup de temps avant qu’il n’éjacule et arrose le vagin puis toujours en érection il recommence à lui défoncer la chatte ce qui dure plus longtemps avant qu’il ne se soulage de nouveau dans la vagin.

Comme il s’est retiré et allongé Manon s’en prend de nouveau au pénis avec ses mains et sa bouche, elle est étonnée car il ne lui faut pas trop de temps pour le remettre en érection.

Elle est désappointée car il lui demande de se mettre à genoux et elle sai qu’elle va souffrir.

S’il enfonce d’abord sa verge dans la chatte elle en sort rapidement et après avoir frotté entre les fesses elle se trouve maintenant contre l’orifice annal dans lequel elle s’enfonce un peu plus facilement que la première fois mais pas sans douleur pour la prostituée qui pousse des cris tout le temps qu’elle se fait sodomiser, elle est soulager quand elle ressent les tremblements de la queue dans son fondement pendant que le black s’y soulage.

C’est ensuite et pendant un moment, car Issa semble insatiable, une succession de remise en érection puis de pénétrations de la chatte et du cul.

En comptant les éjaculations lors des séances photos et films Issa a joui au moins dix fois quand conscient que Manon n’en peut plus de son énorme pénis et voyant dans quel état il a mis ses orifices et surtout celui anal, il décide que cela suffit.

Il se dirige vers la salle de bain pendant que Manon les yeux cernés et la figure fatiguée essaie de se remettre. C’est ensuite elle qui va se laver mais quand, en plus d’être douloureux, elle voit l’état de ses orifices et surtout de son anus très largement ouverts elle fond en larmes.

Elle se rhabille sans mettre de string pour ne pas augmenter la douleur car son sexe et son anus sont très sensibles et tant pis si des gens voient ses fesses et ses parties intimes pendant qu’elle regagne sa voiture tout en marchant les jambes un peu écartées et qu’elle a l’air de se déplacer comme un canard le ferait.

Même en utilisant certains produits il va lui falloir plusieurs jours pour se remettre, elle maudit les responsables de la société qui emploient son mari pour ce qu’ils lui font subir.

Ce qui s’est passé avec le black a été filmé, Manon se demande si ceux qui vont visionner seront séduits mais elle est sure que les pervers de tous bords seront intéressés et cela lui promet des futures souffrances.

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Un week end avec ma mère

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La nuit est tombée, mettant fin à cette soirée d’été. Il avait fait chaud toute la journée. Voir le soleil disparaître signifiait qu’il allait faire plus frais.

Pourtant, cette nuit, il allait faire très chaud.

Je m’appelle Dan, jeune lycéen de 18 ans. J’ai un physique assez banal bien qu’ayant un corps assez athlétique pour mon âge. Dans le passé, j’ai eu quelques aventures avec des filles et en général, il est assez facile pour moi de séduire quelqu’un. Cependant, mon plus gros fantasme reste difficile à réaliser.

Depuis longtemps, je fantasme sur ma mère : Nadia. Ma mère est plutôt bien conservée pour son âge. Malgré ses 40 ans, elle possède encore de jolis attributs physiques : des fesses biens rondes ou encore une poitrine généreuse.

Je rêve depuis plusieurs années de la posséder, d’introduire mon sexe en elle, de jouir de ses charmes et de la souiller. Je rêve également de la voir dans un gangbang des plus hard, se soumettant au moindre des désirs de ses partenaires.

Ce soir là, mon père devait partir à Paris en urgence pour son travail. Il est parti donc très tôt ce matin pour revenir la semaine prochaine. Je me suis donc me retrouver tout seul avec Nadia pendant tout un week end. Cela faisait trop longtemps que je voulais passer à l’action. Ce week end était une

aubaine. J’allais mettre tous les moyens nécessaires pour me faire ma mère.

Je me suis rendu sur Internet, sur un site X peu connu pour passer une annonce. Ce site a la particularité d’être très hard et relativement violent. J’ai demandé des volontaires de la région pour participer à une orgie spéciale. J’ai également ajouté des photos de ma mère à moitié dénudé la mettant en valeur. J’avais eu beaucoup de mal à prendre ses photos discrètement et j’étais ravi de pouvoir les mettre là pour promouvoir mon annonce.

A ma grande surprise, quelques minutes suffirent pour que plusieurs personnes se proposent. Ma mère devait être vraiment désirable.

J’ai fixé donc une heure de rendez vous puis j’ai continué ma soirée normalement. Nadia a mis la télé pour regarder un film sans intérêt. Vers 22h, elle m’a salué puis elle est allée dans sa chambre pour dormir.

Je la regardais se diriger vers son lit d’un œil lubrique. J’ai repoussé l’idée d’aller directement dans sa chambre et de lui sauter dessus.

A 23h, de suis discrètement sorti de la maison. Un groupe de 4 hommes attendait tranquillement devant la porte.

« Salut les gars, vous venez tous pour la petite soirée spéciale?

Ils ont tous hoché la tête pour confirmer. J’ai appris leur nom : Eric, Paul, Matt et Harry.

Certains avaient l’air méfiant, s’attendant à ce que je leur annonce que c’était une blague et qu’il n’y avait rien pour eux ce soir. J’ai directement décidé d’annoncer la couleur.

« Bon je vous explique le plan. Ma mère, Nadia, est allé dormir dans sa chambre il y a 1h. Vous allez discrètement vous introduire dans la pièce puis vous attendez mon signal. Après ça, vous avez carte blanche. Vous lui faites ce que vous voulez, tout est permis. Vous avez tout le temps que vous voulez. Vous pouvez prendre le temps que vous voulez. »

Les visages se sont décrispés et j’ai vu Matt et Paul afficher de grands sourires. La soirée s’annonçait bien.

Je leur ait dit de me suivre et je les ait conduit dans la chambre de Nadia. J’ai entrouvert la porte pour vérifier qu’elle dormait. Ma mère avait une respiration lente et régulière. Aucun doute : elle dormait paisiblement. Elle portait une petite nuisette noire qui mettait en valeur sa poitrine. Les 4 hommes se sont approchés du lit. Ils étaient conquis par kütahya escort le charme de Nadia. Ils étaient complètement hypnotisés par cette femme qui était là, à quelques mètres d’eux, totalement vulnérable et pourtant terriblement désirable.

Deux d’entre eux ont enfilé une cagoule, ne voulant manifestement pas être reconnu. Les 2 autres étaient beaucoup trop excités pour penser à ça. Je me suis placé dans un coin sombre de la pièce afin qu’on ne me voit pas et j’ai placé une caméra devant moi afin d’immortaliser la scène. Puis, d’un signe de la main, j’ai annoncé le début des hostilités.

Sans attendre, ils se sont jetés sur le lit. Chacun a saisit un membre de Nadia pour l’immobiliser. Cela l’a immédiatement réveillée. D’abord groggy, elle a mis quelques secondes avant de se rendre compte qu’il y avait 4 intrus dans sa chambre.

« Mais qu’est-ce que… NON ARRETEZ.. AAAAH »

L’homme qui s’appelait Harry a retiré la nuisette que Nadia portait, libérant sa poitrine de tout mouvement. Cela a provoqué une vague d’excitation de la part du groupe.pas la réveiller. Matt a prit ces deux seins avec ses mains et les a malaxé. Ils ont gagné du volume et ses tétons se sont dressés. Pendant que deux hommes ont continué à la maintenir immobile, Matt en a profité pour lui enlever son dernier sous-vêtement : un petit string en dentelle. Elle s’était épilée le sexe, prouvant qu’elle prenait soin de son corps.

« Matez moi un peu ce cul les gars! »

A leur tour, ils ont retiré leur vêtement. La taille de leur membre était variable : de quelques centimètres à de gros calibres. Les commentaires fusaient et ma mère était tétanisée, en état de choc.

« ça c’est vraiment une grosse salope!

– Ouais! On va bien te baiser grosse chienne!

– Nooon s’il vous plaît! Arrêtez! »

Harry a grimpé sur le lit tandis que les 3 autres faisaient en sorte d’immobiliser Nadia sur le dos.

Sans plus de préliminaires, Harry a écarté les cuisses de ma mère et a enfoncé son sexe dans son intimitée. Elle criait mais tout le monde l’ignorait.

« NOON! PAS CAA! METTEZ UNE CAPOTE »

Mais j’avais donné carte blanche aux 4 hommes. Ils étaient donc libre de faire ce qu’ils voulaient.

Avec la caméra, j’ai zoomé sur cette pénétration sauvage. Il a coulissé rapidement en elle en lâchant des grognements bestiaux, sous les encouragements des autres étalons. Ses boules ont cogné sur les fesses de ma mère, faisant un bruit régulier qui confirmait que cette pénétration était sauvage.

« Va y baise la cette salope!

– Met lui ce qu’elle mérite! »

Il lui maintenait les jambes en l’air avec ses mains afin de s’introduire le plus profondément dans son utérus. On voyait son membre disparaître jusqu’à la garde à chaque coup de rein. Il a besogné Nadia sans ménagement. On voyait clairement qu’il prenait son pied. Il a baisé ma mère comme un chien s’accouplerait avec une chienne, de manière bestiale.

Il a encore accéléré la cadence. Ses boules ont cogné encore plus vite et plus fort. Ses râles se sont également accentués. L’orgasme arrivait. Ma mère l’a senti aussi car elle s’est débattue pour retirer ce sexe en elle et échapper à cet orgasme. Mais les 3 autres hommes n’avaient pas l’intention de la laisser faire. Elle était impuissante devant cette situation.

C’est ce moment que Harry a choisi pour jouir. Au milieu de ses vas et viens, il a fini par lâcher sa semence au plus profond de son utérus.

« Aaaaaah! Je te remplis!!! »

Ma mère était effondrée tandis que l’homme finissait de vider ses couilles. Repus, il est resté manisa escort encore quelques secondes en elle, savourant cette petite chatte qu’il venait de souiller. Puis il a fini par se retirer.

J’ai zoomé avec la caméra sur le vagin de ma mère : on voyait du sperme encore chaud en sortir.

« A qui le tour? »

A ces mots, ma mère a comprise que la nuit risquait d’être longue. Matt a échangé sa place avec Harry et à son tour, il a introduit sa bite dans son entrecuisse et a commencé sa besogne. Il a lui aussi coulissé rapidement entre ses cuisses. Il l’a baisé à couilles rabattues, Sa bite est entrée et sortie de son vagin à une vitesse folle. A travers tous les cris de ma mère, j’ai sentis qu’elle prenait quand même du plaisir. Sa respiration s’est accélérée et ses cris devenaient parfois des couinements. Avait-elle un orgasme?

Matt s’est retiré pour venir jouir sur son visage. C’était la pire des humiliations : ma mère a subit une facial. Ses jets de semence se sont répandues sur son visage d’ange.

Les minutes se sont enchaînées. Après, Matt, c’est Paul qui a eu l’honneur de profiter des charmes de Nadia.

C’était maintenant au tour d’Eric. Ma mère avait commencé a se résigner et à se calmer. Mais les choses se sont accélérées. Eric lui a dit :

« Ma mignone! Je vais prendre ton petit cul.

– NOOOOOON!! S’IL VOUS PLAIT, JE NE FAIT JAMAIS CA! »

Elle a crié et tenté une nouvelle fois de se lever mais sans plus de succès. On l’a agrippé et forcé à se placer sur le dos, sur le lit. Le jeune homme a présenté son sexe devant son anus pendant que deux autres hommes lui maintenaient les jambes afin de laisser ses cuisses ouvertes et son petit trou accessible.

« Moi tout ce qui m’intéresse chez les femmes, c’est leur cul. Je vais t’enculer. Tu vas avoir mal! Trèès mal! Et moi, je vais m’éclater.»

Eric a mit de la salive sur sa queue. Il a approché lentement son gland des petites fesses de Nadia. de son oeillet. Sa bite a fini par toucher son oeillet. Ce fut comme un signal. Son gland a commencé à entrer dans son petit cul. Elle criait mais cela ne l’a pas interrompu. C’était bien plus étroit que son utérus. Il fallut du temps pour voir ce sexe disparaître entre ses fesses. Finalement, ses boules ont touché la peau de Nadia. Il venait d’introduire l’intégralité de son sexe dans son cul.

« Woah! Il est serré celui là! »

Sa bite a commencé à coulisser. D’abord lentement, il a très vite accéléré la cadence.

Ma mère couinait. Elle avait mal.

Il l’a besogné sans ménagement sous les yeux fascinés de ses camarades. Ses coups de rein étaient puissants. Le visage de ma mère se crispait à chaque pénétration.

« Putain! Elle est étroite cette salope! C’est boon!! »

Il l’a enculé pendant quelques minutes avant de finalement se retirer pour jouir sur son ventre des giclées de foutre épais. Il a glissé sur le côté.

La nuit était magique. Mais je voulais plus, je voulais qu’elle en fasse plus, même si elle n’était pas disposée à le faire.

Il était temps de rentrer en jeu.

J’ai fais signe à Matt de s’approcher de moi. Puis d’une voix effrayé j’ai dit :

« Maman… A l’aide!! »

Elle a levé la tête pour me voir, immobilisé par Matt. J’avais l’air complètement terrifié par la situation.

« DAN! Pitié ne lui faites pas de mal… je vous en supplie! »

Elle s’est mise à sangloter. Harry a rigolé :

« Je crois que maintenant, tu vas être bien sage et tu vas nous écouter ou alors ton petit fiston va très mal finir!

-.. Je.. Je ferais ce que vous voulez mais ne lui mardin escort faites pas de mal! »

Elle était insouciante, ne se doutant pas une seule seconde que j’étais la personne à l’origine de cette soirée.

Harry s’est approché d’elle

« Pour commencer, arrête de te débattre. »

Elle a cessé ses mouvements et s’est calmée.

Harry a présenté son pénis devant son visage et dit d’une voix autoritaire :

« Maintenant, suce moi!

– Je ne peux pas, je…

– Très bien alors ce petit Dan va en faire les frais.

– NOOON! D’accord! »

Sans attendre, elle s’est avancé vers Harry et elle a embouché sa bite. Ses lèvres ont glissé le long de sa queue et sa bite a disparu dans sa petite bouche.

Quel bonheur! Elle faisait une pipe digne de mes plus beaux fantasmes.

Harry a fait des petits mouvements avec mon bassin afin d’aller le plus loin possible dans sa bouche.

– Regarde-moi quand tu me suces!

Son membre coulissait entre ses lèvres pulpeuses. Elle utilisait sa main pour branler la base de mon sexe. C’était la première fois qu’elle faisait quelque chose avec l’une des personnes dans cette chambre, sans être complètement forcée.

L’orgasme arrivait. Elle l’a remarqué car elle a commencé à vouloir se retirer. Harry a agrippé sa tête avec ses mains et l’a forcé à laisser son sexe entre ses lèvres. Elle a compris qu’elle n’avait pas le choix. Il a enfoncé sa bite le plus loin possible dans sa bouche et il a jouit. Sa queue a tressauté. Son foutre est allé se loger au fond de sa gorge. Après quelques secondes, elle a fini par avaler sa semence. Il s’est retiré pour laisser sa place aux autres.

Après que tous aient pu profiter de cette bouche, Matt, qui n’était pas en reste, a placé Nadia sur le ventre et a présenté son membre à moitié dur devant ses fesses.

« Je vais t’enculer maintenant. »

Elle ne répondit pas. Il lui a donné une claque sur la fesse gauche.

« J’ai besoin d’encouragements. Dis moi ce que je vais faire »

-.. m’en….m’enculer!

– Bien.. et dis moi ce que tu veux que je te fasse?

– …

Devant son manque de réaction, il lui a donné une deuxième claque sur sa fesse droite.

– Dis moi ce que tu veux que je fasse petite salope!

– Encule moi.. Elle l’avait chuchoté, presque à demi-mots.

– Tu veux quoi précisément? Je te reposerais pas la question!!

– JE VEUX QUE TU METTES TA BITE DANS MON CUL! »

Cette fois, elle l’avait presque hurlé. C’était un cri de désespoir et d’impuissance mais ça ressemblait aussi à un cri d’impatience.

Je n’en revenais pas! Elle avait vraiment dit ça.

Satisfait, Matt s’est introduit en elle et s’est occupé de son petit trou.

Il a jouit au fond de son ventre puis s’est retiré. Tout le monde était repus, et aux anges. J’ai arrêté de filmer. Au final, je n’avais pas participé. Je n’avais pas baisé ma mère mais ce que j’avais vu et filmé était bien mieux. Durant toute cette orgie, j’avais retenu ces moments, où, à ma surprise, ma mère avait pris du plaisir. Cela était très encourageant pour la suite.

Nadia était effondrée sur le lit, comme hypnotisée, se demandant si c’était un rêve ou bien réel.

Harry s’est approché d’elle

« Tu crois peut-être que c’est finis mais ça ne fait que commencer ma petite salope. »

Voyant qu’elle ne réagissait pas, il lui a agrippé son cou :

« Quand on est une bonne salope, on dit oui monsieur..

-Oui.. monsieur. »

Elle était lasse de se battre, totalement soumise à ses agresseurs.

« Tu vas venir avec nous et si tu as le malheur de ne pas être sage, y a toujours ce petit Dan qu’on peut tabasser. »

Ils se sont levés et nous sommes sortis de la maison. Je ne savais pas du tout ce qui allait se passer. Je leur avait donné carte blanche durant tout le week end. Ils avaient donc encore beaucoup de temps pour profiter de ma mère..

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Deux Soeurs en Péril Ch. 01

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( Cette histoire marque une intrigue progressive et une pression montant tout doucement. Le premier chapitre n’est donc pas directement érotique. Je poste celui-ci et vois si le rythme vous donnent envie de découvrir la suite, si oui je poste les chapitres suivants)

Partie I — Le piège de l’aîné

Chapitre 1 — Coup d’état manqué en Nelsinskcy

Paris est un fantasme pour beaucoup, un rêve pour certains, un cauchemar pour d’autres. Pour peu que le destin vous ait confié telles ou telles cartes, la ville peut être à vos pieds ou au contraire vous engloutir tel un ogre, et sans même prendre la peine de vous mâcher. Évidemment, le destin n’est pas tout. Un chômeur peut devenir entrepreneur à succès, un étudiant sans le sou peut se faire cadre ou P.D.G., même les S.D.F. ont le droit de gagner au loto.

Néanmoins, tout ceci est rare et relève le plus souvent de la fable. Le sans-abri reste sans ticket gagnant, le fils d’ouvrier reste ouvrier, et celui né avec une cuillère d’argent dans la bouche la découvre sertie de diamants. Les contrastes y sont frappants. De jolies filles bien sapées passent devant un miséreux n’ayant qu’une bouteille de bière pour unique compagnie… Ce qui n’est sans doute pas la faute des jeunes filles, tout en montrant la cruauté dans laquelle nous vivons. Paris ville du sexe libre, tout en étant celle de la misère sexuelle. Quel paradoxe.

Nous concernant, ma sœur et moi, nous avons surtout eu affaire à un destin des plus particuliers. Un berceau en soie, une enfance en or, puis… Puis un drame très particulier dont je vais vous conter l’histoire. Notre destin, nous l’avons pris en main très récemment. Avant cela, les éléments extérieurs ont décidé à notre place.

Paris est devenu notre « patrie » sur le tard. En apparence, nous venions de province. rize escort En réalité… notre réalité, presque personne ne la connaît. Et il faut que cela reste ainsi : même le dire à nos meilleurs amis serait risqué. Papa nous l’a appris : « En ce type de cas, il ne faut faire confiance à personne… et surtout pas à ses amis ». Que c’est frustrant : en France bien des gens adorent la Nelsinskcy, ce pays russophone si fascinant et plein de charme. Nous devrions être fières de pouvoir dire que nous venons d’une telle contrée. Or, nous devons le cacher à tous : camarades de classe, copains-copines, professeurs, connaissances, petits copains. À tout le monde.

Oui, la Nelsinskcy est un pays magnifique. Les visiteurs qui y viennent n’ont plus envie d’en repartir. Malheureusement, c’est aussi la dernière contrée d’Europe de l’Est à conserver encore un régime durement totalitaire. La vie des touristes n’est pas la même que celle des locaux, ça on peut le dire!

Nous sommes nées dans la capitale. Papa, haut fonctionnaire d’état, rencontra une administrée dans les couloirs d’un sénat. Ce fut le coup de foudre, il épousa peu après. Récit classique, pour nous le plus beau qui soit.

Des câlins de papa et maman naquirent deux magnifiques petites brunes. Moi, Anastasia, qui vins au monde la première, et la seconde un peu plus tard, Vera. Quand on nous demandait si la différence d’âge posait problème, nous répondions avec malice que nous avions exactement le même âge à quelques années près… « Magnifiques petites brunes » n’est pas un terme très modeste, je l’avoue. Ce n’est pas ma faute, tout le monde nous le dit depuis notre plus tendre enfance, bien avant même l’âge où l’on devient sexy.

Le temps passant, l’écart d’âge se ressentit davantage entre nous sakarya escort deux. Vera, qui me voyait plus mature que je ne l’étais, se mit à me prendre pour modèle, ce qui m’empêcha de commettre bien des bêtises… ou de les commettre en cachette. Notre complicité resta intacte d’année en année. Insouciantes, nous vivions dans une vaste maison et ne manquions de rien, je dirais même que nos parents ne nous gâtaient que trop. Malgré la taille de notre lieu de vie, il ne nous parut jamais essentiel d’avoir des chambres séparées, même si les parents nous le proposèrent plus d’une fois.

Le régime politique? Nous n’en avions qu’une vague idée… Était-il juste ou injuste, nous étions trop jeunes pour seulement bien comprendre la question. Ce n’est que juste avant la tentative de coup d’état que nos parents nous apprirent en grand secret qu’un vaste mouvement de révolte se préparait. Quelle était leur implication exacte, nous ne le sûmes jamais, il y avait en tout cas fort à parier qu’elle était à hauteur de leur poste, soit donc à un niveau élevé.

Le jour J et ceux qui suivirent, la situation fut des plus confuses. D’une heure à l’autre, on croyait que le régime était tombé, puis qu’il y avait une contre-attaque, puis que la dernière information était erronée… En réalité, la balance pencha d’un côté puis d’un autre une bonne semaine durant. Des heures de tension extrême, sans qu’aucun camp ne parvienne réellement à l’emporter. Finalement, la révolte ne parvint pas à se métamorphoser en révolution, et la tentative se solda par un échec.

En moins de vingt-quatre heures, tout changea dans notre existence. La vie nous prit tout : nos biens, nos droits, nos amis, jusqu’à notre identité. Notre père apprit qu’on l’avait trahi : ce qui circulait à samsun escort l’état de rumeur à son sujet allait se confirmer, et se transformerait inévitablement en arrestation. Quand cela? D’ici peu… Cela pouvait signifier une journée, quelques jours tout au plus. Et un état totalitaire n’a nul besoin de raisons spéciales pour arrêter quelqu’un et sa famille. De toute façon papa avait comploté contre le régime, cela se saurait d’une manière ou d’une autre. Quant à maman, il était acquis qu’elle s’était rendue pour lui coupable d’espionnage. Quelle était leur implication exacte, avaient-ils fait cela par conviction ou intérêt, rien n’était bien clair. Un seul fait était évident : il fallait fuir, fuir au plus vite.

Nous nous doutions depuis longtemps que nos parents traînaient dans d’obscures affaires, nous n’aurions toutefois jamais pensé que tout cela aurait de telles conséquences. Fort heureusement, l’organisation clandestine dont ils faisaient partie avait quelques moyens. Des camarades prévinrent papa à temps, qui nous fit faire nos affaires avec interdiction absolue d’allumer Internet ou de passer le moindre coup de fil. Le soir même, nous embarquions à bord d’un car sous de faux noms, avec des papiers trafiqués dont je me demande bien comment ils avaient pu être réalisés en un temps si court.

Le passage à la frontière fut l’objet de grosses frayeurs, estompées par un complice qui nous fit rapidement passer. Puis, tout se fit en trains : l’avion était moins sûr. Près d’un jour et une nuit de voyage plus tard, nous débarquions dans la capitale française. Tout avait été réglé : identités, lieu de vie, compte bancaire. Nul doute que papa se préparait une porte de sortie depuis longtemps, à utiliser en cas de catastrophe. Les accords entre la France et la Nelsinskcy ne nous permettaient pas du tout de devenir réfugiés politiques. Le gouvernement de l’Est possédait de nombreuses matières premières qu’il vendait à la France en lui permettant ainsi de surmonter la crise tant bien que mal, et les deux pays étaient intimement liés. Tout allait changer à partir de ce jour…

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